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Quelles solutions pour voyager avec son animal de compagnie en avion

En soute, en cabine, par fret ? Sur certains types d’avions ou pour certaines destinations, le transport d’animaux peut être limité ou interdit.

Tout d’abord : acheter un sac ou une caisse pour transporter votre animal

Vous pouvez acheter un sac pour le transport en cabine. Si celui-ci ne peut pas voyager avec vous en cabine, vous devrez vous munir d’une cage de transport (pour le transport en soute) pour chat ou pour chien homologuée IATA.
Pour Air-France, la livraison est possible dans les pays suivants : Algérie, Allemagne, Autriche, Belgique, Danemark, Espagne, États-Unis, Finlande, France métropolitaine, Irlande, Italie, Japon, Luxembourg, Maroc, Pays-Bas, Portugal, Royaume-Uni, Suède, Suisse, Tunisie.

La norme IATA – ou International Air Transport Association – pour le transport de vos animaux en avion est une norme obligatoire pour tout bagage pour animal en cabine. Voici les exigences à remplir pour qu’un bagage respecte la norme IATA :

  • La coque de votre caisse de transport pour chien ou chat doit être faite en fibres de verre ou plastique rigide, ses deux parties doivent être maintenues par des boulons
  • Les éventuelles roues de la caisse doivent être retirées ou bloquées avec du scotch si elles sont rétractables
  • Le système de fermeture de la porte de votre caisse de transport pour chien ou chat doit être centralisée, de manière à ce que les points de fermeture en haut et en bas de la porte soient verouillés en même temps
  • les charnières doivent par ailleurs dépasser d’au moins 1,6 cm le rebord au dessus et en dessous de la porte
  • Enfin, votre animal doit pouvoir se tenir debout dans sa caisse sans que sa tête touche le haut et s’y retourner / allonger sans gène.

Si vous en avez la possibilité, il est préférable d’acheter directement une caisse de transport pour animal homologuée IATA, pour éviter un supplément à l’arrivée à l’aéroport. vous l’aurez compris, c’est bel et bien une caisse qu’il faut et non un sac de transport pour chat ou chien en avion.

Les formalités

  • Pour être admis à bord d’un avion, votre animal doit avoir tous ses vaccins obligatoires à jour.
  • Tout chien ou chat voyageant au sein de l’Union européenne doit être identifié au moyen d’une puce électronique. Il doit également être muni d’un passeport européen. Fourni et rempli par un vétérinaire habilité, ce passeport permet d’identifier votre animal et atteste qu’il est dûment vacciné.
  • Nous vous recommandons de vous renseigner auprès de l’ambassade de votre pays de destination. Par exemple, pour les voyages vers l’Irlande, la Suède, le Royaume-Uni ou Malte, des conditions sanitaires supplémentaires sont requises. 
  • Pour vos voyages en dehors de l’Union européenne, pensez à vous renseigner sur les réglementations en vigueur dans les pays d’origine et de destination ainsi que pour les pays des escales correspondances (vaccinations, quarantaine, etc.).
  • En règle générale, les compagnies aériennes déclinent toute responsabilité pour les frais engagés (frais de modification de réservation, séjour à l’hôtel, frais de chenil, etc.) en cas de refus de transport de l’animal justifié par le non-respect de leurs dispositions, ou en cas de refus d’acceptation de l’animal à l’arrivée, justifié par le non-respect des dispositions établies par le pays de destination.

Quel prix pour le transport d’un animal en avion ?

Le site Skyscanner a passé en revu le prix des plus grandes compagnies aériennes ainsi que toutes les restrictions propres à chaque compagnie. Il est toutefois conseillé de se renseigner auprès des compagnies aériennes directement car les tarifs changent régulièrement. Voici le lien : >>SkyScanner<<

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Les 7 mesures proposées par le maire de Nice pour réduire les locations saisonnières de « 50% minimum »

D’après le journal Nice-Matin, le maire de Nice, Christian Estrosi, souhaite renforcer les restrictions sur les locations saisonnières. Lors d’une conférence de presse tenue le jeudi 14 novembre, il a dévoilé sept nouvelles mesures visant à réduire de « 50% minimum » le nombre de logements proposés sur des plateformes comme Airbnb.

Déjà connue pour son engagement dans la régulation des locations saisonnières, Nice entend s’appuyer sur la récente loi « anti-Airbnb », adoptée le 7 novembre, pour aller encore plus loin dans cette lutte.

Christian Estrosi a rappelé son objectif de mettre en place une réglementation stricte afin de préserver l’accès des habitants à des logements de longue durée. Ce nouveau plan repose sur une étude d’impact réalisée par la Métropole Nice Côte d’Azur, incluant une cartographie détaillée des quartiers.

« Je ne souhaite pas interdire les meublés touristiques mais éviter qu’ils submergent la ville. Mon but n’est pas de pénaliser les particuliers qui louent une chambre pour compléter leurs revenus, mais de contrer les entreprises qui monopolisent un bien commun essentiel pour les Niçois », a-t-il précisé.

Les 7 mesures envisagées :

  1. Quotas par quartier : Les propriétaires dépassant ces quotas devront compenser en transformant un local de surface équivalente en logement.
  2. Durée des autorisations réduite : Les autorisations temporaires seraient ramenées de six à cinq ans.
  3. Réduction du nombre de jours autorisés : Les résidences principales ne pourraient plus être louées plus de 90 jours par an, contre 120 actuellement.
  4. Maintien des dispositifs dérogatoires : Le modèle mixte, permettant une location touristique estivale et un usage étudiant le reste de l’année, serait conservé.
  5. Documents obligatoires pour les propriétaires : Fourniture d’un diagnostic de performance énergétique (DPE) conforme et d’une attestation sur l’honneur du respect du règlement de copropriété lors de la demande de changement d’usage.
  6. Amendes renforcées : Des sanctions administratives pouvant atteindre 20 000 euros, avec des majorations en cas de récidive.
  7. Zones spécifiques dans le PLU : Création de secteurs limitant les locations saisonnières aux seules résidences principales via le Plan Local d’Urbanisme.

Ces mesures visent à contenir l’impact des locations touristiques sur le marché immobilier local et à préserver l’équilibre entre tourisme et qualité de vie des résidents permanents.

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Le voilier Croisière Orient Express Corinthian : l’élégance maritime redéfinie

Cent quarante ans après ses premiers trains de luxe, la légende Orient Express s’étend avec le lancement d’Orient Express Corinthian, le plus grand voilier au monde, prêt à réinventer l’art du voyage en mer. Fruit d’une collaboration inédite entre Accor, les Chantiers de l’Atlantique et LVMH, ce navire allie un design innovant et une propulsion hybride avancée, en réponse aux défis écologiques.

Prévu pour juin 2026, ce bijou de technologie et de style vogue entre Méditerranée, Adriatique et Caraïbes. Construit avec la technologie « SolidSail », le voilier combine l’énergie vélique et le gaz naturel liquéfié (GNL) pour réduire son empreinte environnementale. Doté de trois mâts inclinables et d’une surface de voilure de 4 500 m², il peut atteindre 17 nœuds, propulsé uniquement par le vent.

Avec des suites allant de 45 à 230 m², Orient Express Corinthian assure intimité et confort de haut niveau. Le design, signé par Maxime d’Angeac, intègre bois, cuir et marbre, rappelant l’âge d’or de l’Orient Express et le raffinement artisanal français.

Les passagers auront accès à cinq restaurants, huit bars, un cabaret Art déco, une marina avec activités nautiques, et un couloir de nage de 16,6 m sur le pont supérieur. Ce navire incarne un retour au voyage lent, redéfinissant le luxe sur mer avec des escales choisies pour leur beauté et leur authenticité.

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Dès mars 2025, un « visa » obligatoire pour se rendre au Royaume-Uni

À partir de mars 2025, les voyageurs français, italiens et monégasques devront obtenir un ETA (Electronic Travel Authorization) pour se rendre au Royaume-Uni. Cette mesure entrera en vigueur le 2 avril 2025.

Qui sera concerné ?

Initialement, l’ETA était destiné aux ressortissants du Qatar, du Bahreïn, du Koweït, d’Arabie Saoudite et de Jordanie. Cependant, cette exigence sera étendue à d’autres nationalités à partir de l’année prochaine. Plus précisément, le système ETA sera introduit pour tous les visiteurs du Royaume-Uni qui n’ont actuellement pas besoin de visa pour des séjours de courte durée, y compris les ressortissants européens.

Comment ça marche ?

L’ETA est un document similaire à l’ESTA des États-Unis. Pour obtenir l’ETA britannique, il suffit de télécharger l’application dédiée ou de se rendre sur le site Internet. Le coût de l’ETA est de 10 livres sterling, soit environ 12 euros, et il sera valable deux ans à compter de sa délivrance. En cas de refus de l’ETA, il faudra alors faire une demande de visa.

Que permet l’ETA ?

Avec l’ETA, le gouvernement britannique autorise une durée de séjour maximale de 6 mois pour le tourisme, les visites familiales et amicales, les affaires ou les études de courte durée. De plus, l’ETA permet une durée de séjour de 3 mois pour les travailleurs créatifs avec un visa de travail, pour des engagements rémunérés autorisés, ou pour transiter par le Royaume-Uni, même sans passer par le contrôle aux frontières britanniques.

Pourquoi une telle mise en place ?

Selon le gouvernement britannique, cette mesure permettra d’améliorer les « connaissances sur les personnes qui cherchent à venir au Royaume-Uni et d’empêcher les personnes qui représentent une menace ».

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