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Vulog et Zoov s’associent pour accélérer le développement de services de mobilité multimodale

Les deux innovateurs français de la mobilité intégreront leurs technologies pour fournir aux opérateurs des vélos électriques haut de gamme et faciliter le déploiement de services de mobilité multimodale.

Vulog, le principal fournisseur de technologies de mobilité partagée, a annoncé un nouveau partenariat avec le fabricant et opérateur de vélos électriques Zoov, élargissant son expertise en mobilité partagée et en voyages multimodaux. Ce partenariat permettra aux deux entreprises françaises, toutes deux reconnues pour leur innovation dans le domaine de la mobilité, de diversifier leur offre auprès de clients existants et de prospects. Le partenariat permet aux clients de Vulog d’effectuer une transition transparente vers l’espace multimodal, permettant aux utilisateurs de combiner le vélo électrique partagé avec d’autres modes de transport (voiture, métro, etc.) en un seul voyage pour arriver en toute sécurité, efficacement et durablement, à leur destination finale.

«Cette nouvelle collaboration avec Zoov nous permet de faire progresser le développement de la micromobilité et des services multimodaux», déclare Gregory Ducongé, PDG de Vulog. «Nous avons maintenant rendu plus rapide et plus simple la mise en place d’un service de partage de vélos électriques, en augmentant le nombre de façons dont les utilisateurs peuvent se déplacer de porte à porte et en fin de compte réduire la congestion routière et la pollution dans nos villes.»

Les vélos électriques de Zoov seront intégrés à la plateforme AiMA (Artificial Intelligence Mobility Applied) de Vulog afin qu’ils soient «  prêts pour le partage  », permettant aux opérateurs de passer au multimodal plus rapidement que jamais. Les clients Vulog bénéficieront des vélos électriques Zoov, qui sont livrés avec une station de stationnement compacte qui permet à jusqu’à 15 vélos de se garer sur une seule place de parking.

«Depuis la création de l’entreprise, nous travaillons à la construction du service de partage de vélos électriques le plus fiable et le plus durable. En partenariat avec Vulog, nous sommes désormais en mesure d’accélérer l’adoption des vélos électriques comme l’un des principaux moyens de transport dans les villes européennes », déclare Amira Haberah, co-fondatrice de Zoov.

Le mouvement de mobilité partagée vise à réduire la dépendance vis-à-vis de la possession de véhicules privés et à atténuer ainsi la congestion et la pollution dans les villes. Le vélo électrique est un élément essentiel de l’écosystème de la mobilité urbaine car la majorité des déplacements urbains durent moins de 10 kilomètres. Parfaitement adapté pour les trajets de cette distance, le vélo électrique assure des déplacements faciles et durables.

À PROPOS DE ZOOV

Fondée en 2017 par l’entrepreneur en série Eric Carreel, Arnaud Le Rodallec et Amira Haberah, Zoov est la référence technologique en matière de vélos électriques en libre-service en Europe, grâce à des vélos électriques intelligents, efficaces et robustes, ainsi qu’à un compact, une infrastructure de stationnement et de recharge économique. En plus de proposer son service dans le sud du Grand Paris et à Bordeaux, Zoov rend les vélos électriques plus facilement disponibles en Europe en permettant à d’autres opérateurs d’intégrer leurs vélos électriques dans leurs solutions de mobilité, ou d’enrichir leur service existant grâce à son IoT technologie et outils de gestion de flotte.

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Les 7 mesures proposées par le maire de Nice pour réduire les locations saisonnières de « 50% minimum »

D’après le journal Nice-Matin, le maire de Nice, Christian Estrosi, souhaite renforcer les restrictions sur les locations saisonnières. Lors d’une conférence de presse tenue le jeudi 14 novembre, il a dévoilé sept nouvelles mesures visant à réduire de « 50% minimum » le nombre de logements proposés sur des plateformes comme Airbnb.

Déjà connue pour son engagement dans la régulation des locations saisonnières, Nice entend s’appuyer sur la récente loi « anti-Airbnb », adoptée le 7 novembre, pour aller encore plus loin dans cette lutte.

Christian Estrosi a rappelé son objectif de mettre en place une réglementation stricte afin de préserver l’accès des habitants à des logements de longue durée. Ce nouveau plan repose sur une étude d’impact réalisée par la Métropole Nice Côte d’Azur, incluant une cartographie détaillée des quartiers.

« Je ne souhaite pas interdire les meublés touristiques mais éviter qu’ils submergent la ville. Mon but n’est pas de pénaliser les particuliers qui louent une chambre pour compléter leurs revenus, mais de contrer les entreprises qui monopolisent un bien commun essentiel pour les Niçois », a-t-il précisé.

Les 7 mesures envisagées :

  1. Quotas par quartier : Les propriétaires dépassant ces quotas devront compenser en transformant un local de surface équivalente en logement.
  2. Durée des autorisations réduite : Les autorisations temporaires seraient ramenées de six à cinq ans.
  3. Réduction du nombre de jours autorisés : Les résidences principales ne pourraient plus être louées plus de 90 jours par an, contre 120 actuellement.
  4. Maintien des dispositifs dérogatoires : Le modèle mixte, permettant une location touristique estivale et un usage étudiant le reste de l’année, serait conservé.
  5. Documents obligatoires pour les propriétaires : Fourniture d’un diagnostic de performance énergétique (DPE) conforme et d’une attestation sur l’honneur du respect du règlement de copropriété lors de la demande de changement d’usage.
  6. Amendes renforcées : Des sanctions administratives pouvant atteindre 20 000 euros, avec des majorations en cas de récidive.
  7. Zones spécifiques dans le PLU : Création de secteurs limitant les locations saisonnières aux seules résidences principales via le Plan Local d’Urbanisme.

Ces mesures visent à contenir l’impact des locations touristiques sur le marché immobilier local et à préserver l’équilibre entre tourisme et qualité de vie des résidents permanents.

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Le voilier Croisière Orient Express Corinthian : l’élégance maritime redéfinie

Cent quarante ans après ses premiers trains de luxe, la légende Orient Express s’étend avec le lancement d’Orient Express Corinthian, le plus grand voilier au monde, prêt à réinventer l’art du voyage en mer. Fruit d’une collaboration inédite entre Accor, les Chantiers de l’Atlantique et LVMH, ce navire allie un design innovant et une propulsion hybride avancée, en réponse aux défis écologiques.

Prévu pour juin 2026, ce bijou de technologie et de style vogue entre Méditerranée, Adriatique et Caraïbes. Construit avec la technologie « SolidSail », le voilier combine l’énergie vélique et le gaz naturel liquéfié (GNL) pour réduire son empreinte environnementale. Doté de trois mâts inclinables et d’une surface de voilure de 4 500 m², il peut atteindre 17 nœuds, propulsé uniquement par le vent.

Avec des suites allant de 45 à 230 m², Orient Express Corinthian assure intimité et confort de haut niveau. Le design, signé par Maxime d’Angeac, intègre bois, cuir et marbre, rappelant l’âge d’or de l’Orient Express et le raffinement artisanal français.

Les passagers auront accès à cinq restaurants, huit bars, un cabaret Art déco, une marina avec activités nautiques, et un couloir de nage de 16,6 m sur le pont supérieur. Ce navire incarne un retour au voyage lent, redéfinissant le luxe sur mer avec des escales choisies pour leur beauté et leur authenticité.

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Dès mars 2025, un « visa » obligatoire pour se rendre au Royaume-Uni

À partir de mars 2025, les voyageurs français, italiens et monégasques devront obtenir un ETA (Electronic Travel Authorization) pour se rendre au Royaume-Uni. Cette mesure entrera en vigueur le 2 avril 2025.

Qui sera concerné ?

Initialement, l’ETA était destiné aux ressortissants du Qatar, du Bahreïn, du Koweït, d’Arabie Saoudite et de Jordanie. Cependant, cette exigence sera étendue à d’autres nationalités à partir de l’année prochaine. Plus précisément, le système ETA sera introduit pour tous les visiteurs du Royaume-Uni qui n’ont actuellement pas besoin de visa pour des séjours de courte durée, y compris les ressortissants européens.

Comment ça marche ?

L’ETA est un document similaire à l’ESTA des États-Unis. Pour obtenir l’ETA britannique, il suffit de télécharger l’application dédiée ou de se rendre sur le site Internet. Le coût de l’ETA est de 10 livres sterling, soit environ 12 euros, et il sera valable deux ans à compter de sa délivrance. En cas de refus de l’ETA, il faudra alors faire une demande de visa.

Que permet l’ETA ?

Avec l’ETA, le gouvernement britannique autorise une durée de séjour maximale de 6 mois pour le tourisme, les visites familiales et amicales, les affaires ou les études de courte durée. De plus, l’ETA permet une durée de séjour de 3 mois pour les travailleurs créatifs avec un visa de travail, pour des engagements rémunérés autorisés, ou pour transiter par le Royaume-Uni, même sans passer par le contrôle aux frontières britanniques.

Pourquoi une telle mise en place ?

Selon le gouvernement britannique, cette mesure permettra d’améliorer les « connaissances sur les personnes qui cherchent à venir au Royaume-Uni et d’empêcher les personnes qui représentent une menace ».

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