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COVID-19: que faut-il pour se rendre aux Etats-Unis ?

Les Centres de contrôle et de prévention des maladies (Centers for Disease Control and Prevention, CDC) exigent actuellement que toutes les personnes âgées de 2 ans et plus, voyageant vers ou via les États-Unis, fournissent une preuve d’un test de dépistage de la COVID-19 négatif effectué dans les 3 jours avant le départ et signent une attestation confirmant un résultat négatif.

Un certain nombre de pays dans le monde ont déjà mis en place des ordonnances similaires, visant à limiter l’épidémie. Vous pouvez donc consulter régulièrement ce site avant votre voyage, car il est régulièrement mis à jour.

Détails importants à connaître avant de se rendre aux Etats-Unis:

  • Les passagers sans les résultats négatifs du test de dépistage de la COVID-19 et qui n’ont pas signé d’attestation se verront refusés l’embarquement conformément à l’ordonnance des CDC
  • Les tests COVID-19 approuvés comprennent un test d’amplification des acides nucléiques (p. ex. le test PCR) ou un test d’antigène viral qui est approuvé par l’autorité sanitaire locale.
  • Si votre itinéraire comprend une correspondance, le test de dépistage de la COVID-19 doit être effectué dans les 3 jours avant le départ du vol initial, et les correspondances ne pourront pas dépasser 24 heures.
  • Les passagers guéris de la COVID-19 peuvent voyager avec un test positif (effectué dans les 90 jours avant le voyage) et une lettre d’un professionnel de santé agréé ou d’un agent de santé publique indiquant que le client a été autorisé à voyager.
  • Certaines compagnies aérienne, comme Delta Airlines, permettent aux passagers qui le souhaite, de modifier leur vol. Ils peuvent le faire via la rubrique Mes voyages sans frais de modification

Il existe aussi des Auto-Test… Mais….

Si vous voyagez vers ou via les États-Unis et devez disposer d’un test négatif, nous vous recommandons de consulter les autorités sanitaires locales pour savoir comment effectuer un test de dépistage de la COVID-19 (en personne ou à domicile) avant votre voyage. Veuillez contacter directement les centres de test pour obtenir des informations détaillées sur les coûts, le lieu, le prélèvement des échantillons et la notification des résultats.

Plus facile et moins contraignant, vous pouvez même réaliser un test à domicile. La compagnie Delta recommande d’utiliser un test antigénique à domicile AZOVA. Toutefois, il est préférable de vérifier les directives gouvernementales avant de choisir cette option. Gardez à l’esprit que certains complexes hôteliers internationaux proposent aussi des options de test.

A noter que certaines destinations n’acceptent pas les tests à domicile, ou ne vous permettent pas d’apporter un test à domicile sur le lieu de destination à des fins de réadmission aux États-Unis. Dans tous les cas, veuillez consulter les directives gouvernementales avant de sélectionner cette option. Les tests COVID-19 effectués à l’étranger pour répondre aux exigences d’entrée aux États-Unis doivent répondre à certains critères des CDC.

Quels types de tests sont acceptés et quelles informations doivent être incluses dans mon résultat de test ?

Remarque : Les tests d’anticorps ne sont pas acceptés.

Votre résultat de test doit être documenté (sur papier ou sous forme de copie électronique) et doit inclure tous les éléments suivants :

  1. Le type de test (indiquant un test NAAT ou antigénique)
  2.  Qui a émis le résultat (p. ex. laboratoire, entité de soins de santé ou service de télésanté) et leurs coordonnées (par exemple, leur numéro de téléphone, numéro de fax ou adresse électronique)
  3. Date à laquelle le test a été effectué : un résultat de test négatif pour la COVID-19 effectué dans les 3 jours avant le départ. Un résultat de test positif avec une preuve de guérison de la COVID-19 doit montrer un test pour la COVID-19 effectué dans les 3 mois avant le voyage.
  4. Deux (2) éléments d’identification d’informations personnelles (nom complet plus un autre identifiant, par exemple la date de naissance ou le numéro de passeport)
  5. Résultat du test (résultat négatif ou positif)

En savoir plus sur les tests approuvés sur le site Web des CDC, s’ouvre dans une nouvelle fenêtre.

Quel est la durée de validité du test avant le départ?

Si un passager arrive sur un vol direct à destination des États-Unis, le test négatif doit avoir lieu dans les 3 jours avant le départ du vol direct.

Si l’itinéraire d’un client comprend une ou plusieurs correspondances, le test négatif doit avoir lieu dans les 3 jours avant le départ du vol initial, et la durée de correspondance ne peut pas dépasser 24 heures.

Par exemple : Si un client embarque à bord d’un vol à Berlin le vendredi 29 janvier avec une escale de 14 heures à Amsterdam avant un vol de correspondance pour New York, le client peut passer son test de dépistage de la COVID-19 le mardi 26 janvier (3 jours avant le départ de Berlin).

Cette ordonnance s’applique-t-elle aux personnes qui ont reçu le vaccin anti-COVID-19 ?

Oui. Les passagers qui ont reçu un vaccin anti-COVID-19 doivent toujours présenter la preuve d’un résultat de test négatif obtenu dans les 3 jours avant le voyage et signer une attestation confirmant un résultat négatif.

La preuve d’une vaccination anti-COVID-19 ne dispense pas les passagers des exigences de test.

Article rédigé d’après la page de recommandation de Delta Airlines

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Les 7 mesures proposées par le maire de Nice pour réduire les locations saisonnières de « 50% minimum »

D’après le journal Nice-Matin, le maire de Nice, Christian Estrosi, souhaite renforcer les restrictions sur les locations saisonnières. Lors d’une conférence de presse tenue le jeudi 14 novembre, il a dévoilé sept nouvelles mesures visant à réduire de « 50% minimum » le nombre de logements proposés sur des plateformes comme Airbnb.

Déjà connue pour son engagement dans la régulation des locations saisonnières, Nice entend s’appuyer sur la récente loi « anti-Airbnb », adoptée le 7 novembre, pour aller encore plus loin dans cette lutte.

Christian Estrosi a rappelé son objectif de mettre en place une réglementation stricte afin de préserver l’accès des habitants à des logements de longue durée. Ce nouveau plan repose sur une étude d’impact réalisée par la Métropole Nice Côte d’Azur, incluant une cartographie détaillée des quartiers.

« Je ne souhaite pas interdire les meublés touristiques mais éviter qu’ils submergent la ville. Mon but n’est pas de pénaliser les particuliers qui louent une chambre pour compléter leurs revenus, mais de contrer les entreprises qui monopolisent un bien commun essentiel pour les Niçois », a-t-il précisé.

Les 7 mesures envisagées :

  1. Quotas par quartier : Les propriétaires dépassant ces quotas devront compenser en transformant un local de surface équivalente en logement.
  2. Durée des autorisations réduite : Les autorisations temporaires seraient ramenées de six à cinq ans.
  3. Réduction du nombre de jours autorisés : Les résidences principales ne pourraient plus être louées plus de 90 jours par an, contre 120 actuellement.
  4. Maintien des dispositifs dérogatoires : Le modèle mixte, permettant une location touristique estivale et un usage étudiant le reste de l’année, serait conservé.
  5. Documents obligatoires pour les propriétaires : Fourniture d’un diagnostic de performance énergétique (DPE) conforme et d’une attestation sur l’honneur du respect du règlement de copropriété lors de la demande de changement d’usage.
  6. Amendes renforcées : Des sanctions administratives pouvant atteindre 20 000 euros, avec des majorations en cas de récidive.
  7. Zones spécifiques dans le PLU : Création de secteurs limitant les locations saisonnières aux seules résidences principales via le Plan Local d’Urbanisme.

Ces mesures visent à contenir l’impact des locations touristiques sur le marché immobilier local et à préserver l’équilibre entre tourisme et qualité de vie des résidents permanents.

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Le voilier Croisière Orient Express Corinthian : l’élégance maritime redéfinie

Cent quarante ans après ses premiers trains de luxe, la légende Orient Express s’étend avec le lancement d’Orient Express Corinthian, le plus grand voilier au monde, prêt à réinventer l’art du voyage en mer. Fruit d’une collaboration inédite entre Accor, les Chantiers de l’Atlantique et LVMH, ce navire allie un design innovant et une propulsion hybride avancée, en réponse aux défis écologiques.

Prévu pour juin 2026, ce bijou de technologie et de style vogue entre Méditerranée, Adriatique et Caraïbes. Construit avec la technologie « SolidSail », le voilier combine l’énergie vélique et le gaz naturel liquéfié (GNL) pour réduire son empreinte environnementale. Doté de trois mâts inclinables et d’une surface de voilure de 4 500 m², il peut atteindre 17 nœuds, propulsé uniquement par le vent.

Avec des suites allant de 45 à 230 m², Orient Express Corinthian assure intimité et confort de haut niveau. Le design, signé par Maxime d’Angeac, intègre bois, cuir et marbre, rappelant l’âge d’or de l’Orient Express et le raffinement artisanal français.

Les passagers auront accès à cinq restaurants, huit bars, un cabaret Art déco, une marina avec activités nautiques, et un couloir de nage de 16,6 m sur le pont supérieur. Ce navire incarne un retour au voyage lent, redéfinissant le luxe sur mer avec des escales choisies pour leur beauté et leur authenticité.

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Dès mars 2025, un « visa » obligatoire pour se rendre au Royaume-Uni

À partir de mars 2025, les voyageurs français, italiens et monégasques devront obtenir un ETA (Electronic Travel Authorization) pour se rendre au Royaume-Uni. Cette mesure entrera en vigueur le 2 avril 2025.

Qui sera concerné ?

Initialement, l’ETA était destiné aux ressortissants du Qatar, du Bahreïn, du Koweït, d’Arabie Saoudite et de Jordanie. Cependant, cette exigence sera étendue à d’autres nationalités à partir de l’année prochaine. Plus précisément, le système ETA sera introduit pour tous les visiteurs du Royaume-Uni qui n’ont actuellement pas besoin de visa pour des séjours de courte durée, y compris les ressortissants européens.

Comment ça marche ?

L’ETA est un document similaire à l’ESTA des États-Unis. Pour obtenir l’ETA britannique, il suffit de télécharger l’application dédiée ou de se rendre sur le site Internet. Le coût de l’ETA est de 10 livres sterling, soit environ 12 euros, et il sera valable deux ans à compter de sa délivrance. En cas de refus de l’ETA, il faudra alors faire une demande de visa.

Que permet l’ETA ?

Avec l’ETA, le gouvernement britannique autorise une durée de séjour maximale de 6 mois pour le tourisme, les visites familiales et amicales, les affaires ou les études de courte durée. De plus, l’ETA permet une durée de séjour de 3 mois pour les travailleurs créatifs avec un visa de travail, pour des engagements rémunérés autorisés, ou pour transiter par le Royaume-Uni, même sans passer par le contrôle aux frontières britanniques.

Pourquoi une telle mise en place ?

Selon le gouvernement britannique, cette mesure permettra d’améliorer les « connaissances sur les personnes qui cherchent à venir au Royaume-Uni et d’empêcher les personnes qui représentent une menace ».

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