fbpx
Connect with us

Actualité

Séjour inoubliable en Thaïlande: découverte de divers plats

Dégustation des spécialités culinaires thaïlandaises lors d’un séjour

Lors d’un passage en Thaïlande, les touristes explorentdivers endroits historiques dans ce lieu. Ils peuvent également faire une autre découverte en dégustant leurs spécialités culinaires. La soupe Tom Kha Kai est absolument à apprécier lors de leurs passages en Thaïlande. Il existe beaucoup d’autres plats, gourmandises et desserts à goûter dans cette destination.

Savourer la soupe « Tom Kha Kai » en passant en Thaïlande

Ayutthaya se situe au Nord de Bangkok, les voyageurs ont envie de découvrir les divers bouddhas dans l’enceinte du site de cette ville. Les guides les accompagnent pour effectuer un tour à bicyclette dans le temple sacré. Après une longue balade guidée à vélo des temples d’Ayuatthaya, les touristes souhaitent découvrir la ville de Bangkok. Ils peuvent y visiter quelques streetfoods pour faire de la dégustation des plats thaïlandais. Le TalatPhlu est l’un des grands marchés locaux pour les amateurs de cuisine. Les visiteurs peuvent goûter la fameuse soupe au poulet nommée « Tom Kha Kai » dans ce fastfood. Cette soupe est mélangée avec des carottes, des champignons de paille… La viande du poulet est coupée en morceaux et mijotée à ébullition avec du lait de coco et de la crème. Cette préparation est également assaisonnée avecquelques tiges de coriandre, de gingembre, du jus de citron, de la cannelle. Ce plat se consomme généralement avec du riz thaïlandais.

Se régaler du riz au coco à la mangue en séjournant en Thaïlande

Le riz au coco à la mangue est considéré comme un dessert en Thaïlande. Les voyageurs peuvent goûter à ce plat lors de leur séjour dans de pays. Ce dessert est une spécialité culinaire thaïlandaise qui se trouve sur le marché de rue (les gargotes ou les vendeurs ambulants). C’est le dessert le plus populaire préparé à base du riz, du lait de coco et de la mangue fraîche. Le mois d’Avril au Mai est la saison de la mangue en Thaïlande. Les cuisiniers préfèrent la mangue jaune car elle est plus juteuse et plus sucrée par rapport à la mangue verte. Ils font cuire le riz à la vapeur et ensuite le laisser refroidir en arrosant avec le lait de coco. Par ailleurs, les voyageurs sont fortement recommandés à consulter le site https://thailande.marcovasco.fr/ pour avoir plus d’informations. Ils peuvent profiter de déguster aux autres plats typiques thaïlandais durant leur randonnée avec leurs enfants dans ce quartier. 

Apprécier le plat « pad thaï » lors d’un voyage en Thaïlande

Les amoureux de cuisine peuvent savourer quelques plats préparés par les thaïlandais lors de leur séjour dans ce pays. Le « pad thaï » ou le « phad thaï » est un plat national du peuple thaïlandais à base de pâtes de riz. Cette nouille de riz sautée est disponible sur le marché local de Bangkok. Le « pad thaï » est facile à réaliser et ne demande que quelques temps de préparation. Il est mélangé avec de légumes, de viande de bœuf ou du poulet, de graines germées. Ce mélange est cuit dans un wok à feu vif en assaisonnant avec du jus de citron vert ou de tamarin et de la sauce de poisson. Par contre, le plat pad thaï est préparé à base de légumes pour les végétariens. Durant la préparation de ce célèbre plat, les touristes peuvent s’asseoir sur les tabourets en plastique autour des tables en fer. Une fois la préparation est terminée, chacun est convié à se régaler de ce repas original thaïlandais.

voyageveo.com

Actualité

Les 7 mesures proposées par le maire de Nice pour réduire les locations saisonnières de « 50% minimum »

D’après le journal Nice-Matin, le maire de Nice, Christian Estrosi, souhaite renforcer les restrictions sur les locations saisonnières. Lors d’une conférence de presse tenue le jeudi 14 novembre, il a dévoilé sept nouvelles mesures visant à réduire de « 50% minimum » le nombre de logements proposés sur des plateformes comme Airbnb.

Déjà connue pour son engagement dans la régulation des locations saisonnières, Nice entend s’appuyer sur la récente loi « anti-Airbnb », adoptée le 7 novembre, pour aller encore plus loin dans cette lutte.

Christian Estrosi a rappelé son objectif de mettre en place une réglementation stricte afin de préserver l’accès des habitants à des logements de longue durée. Ce nouveau plan repose sur une étude d’impact réalisée par la Métropole Nice Côte d’Azur, incluant une cartographie détaillée des quartiers.

« Je ne souhaite pas interdire les meublés touristiques mais éviter qu’ils submergent la ville. Mon but n’est pas de pénaliser les particuliers qui louent une chambre pour compléter leurs revenus, mais de contrer les entreprises qui monopolisent un bien commun essentiel pour les Niçois », a-t-il précisé.

Les 7 mesures envisagées :

  1. Quotas par quartier : Les propriétaires dépassant ces quotas devront compenser en transformant un local de surface équivalente en logement.
  2. Durée des autorisations réduite : Les autorisations temporaires seraient ramenées de six à cinq ans.
  3. Réduction du nombre de jours autorisés : Les résidences principales ne pourraient plus être louées plus de 90 jours par an, contre 120 actuellement.
  4. Maintien des dispositifs dérogatoires : Le modèle mixte, permettant une location touristique estivale et un usage étudiant le reste de l’année, serait conservé.
  5. Documents obligatoires pour les propriétaires : Fourniture d’un diagnostic de performance énergétique (DPE) conforme et d’une attestation sur l’honneur du respect du règlement de copropriété lors de la demande de changement d’usage.
  6. Amendes renforcées : Des sanctions administratives pouvant atteindre 20 000 euros, avec des majorations en cas de récidive.
  7. Zones spécifiques dans le PLU : Création de secteurs limitant les locations saisonnières aux seules résidences principales via le Plan Local d’Urbanisme.

Ces mesures visent à contenir l’impact des locations touristiques sur le marché immobilier local et à préserver l’équilibre entre tourisme et qualité de vie des résidents permanents.

Continue Reading

Actualité

Le voilier Croisière Orient Express Corinthian : l’élégance maritime redéfinie

Cent quarante ans après ses premiers trains de luxe, la légende Orient Express s’étend avec le lancement d’Orient Express Corinthian, le plus grand voilier au monde, prêt à réinventer l’art du voyage en mer. Fruit d’une collaboration inédite entre Accor, les Chantiers de l’Atlantique et LVMH, ce navire allie un design innovant et une propulsion hybride avancée, en réponse aux défis écologiques.

Prévu pour juin 2026, ce bijou de technologie et de style vogue entre Méditerranée, Adriatique et Caraïbes. Construit avec la technologie « SolidSail », le voilier combine l’énergie vélique et le gaz naturel liquéfié (GNL) pour réduire son empreinte environnementale. Doté de trois mâts inclinables et d’une surface de voilure de 4 500 m², il peut atteindre 17 nœuds, propulsé uniquement par le vent.

Avec des suites allant de 45 à 230 m², Orient Express Corinthian assure intimité et confort de haut niveau. Le design, signé par Maxime d’Angeac, intègre bois, cuir et marbre, rappelant l’âge d’or de l’Orient Express et le raffinement artisanal français.

Les passagers auront accès à cinq restaurants, huit bars, un cabaret Art déco, une marina avec activités nautiques, et un couloir de nage de 16,6 m sur le pont supérieur. Ce navire incarne un retour au voyage lent, redéfinissant le luxe sur mer avec des escales choisies pour leur beauté et leur authenticité.

Continue Reading

Actualité

Dès mars 2025, un « visa » obligatoire pour se rendre au Royaume-Uni

À partir de mars 2025, les voyageurs français, italiens et monégasques devront obtenir un ETA (Electronic Travel Authorization) pour se rendre au Royaume-Uni. Cette mesure entrera en vigueur le 2 avril 2025.

Qui sera concerné ?

Initialement, l’ETA était destiné aux ressortissants du Qatar, du Bahreïn, du Koweït, d’Arabie Saoudite et de Jordanie. Cependant, cette exigence sera étendue à d’autres nationalités à partir de l’année prochaine. Plus précisément, le système ETA sera introduit pour tous les visiteurs du Royaume-Uni qui n’ont actuellement pas besoin de visa pour des séjours de courte durée, y compris les ressortissants européens.

Comment ça marche ?

L’ETA est un document similaire à l’ESTA des États-Unis. Pour obtenir l’ETA britannique, il suffit de télécharger l’application dédiée ou de se rendre sur le site Internet. Le coût de l’ETA est de 10 livres sterling, soit environ 12 euros, et il sera valable deux ans à compter de sa délivrance. En cas de refus de l’ETA, il faudra alors faire une demande de visa.

Que permet l’ETA ?

Avec l’ETA, le gouvernement britannique autorise une durée de séjour maximale de 6 mois pour le tourisme, les visites familiales et amicales, les affaires ou les études de courte durée. De plus, l’ETA permet une durée de séjour de 3 mois pour les travailleurs créatifs avec un visa de travail, pour des engagements rémunérés autorisés, ou pour transiter par le Royaume-Uni, même sans passer par le contrôle aux frontières britanniques.

Pourquoi une telle mise en place ?

Selon le gouvernement britannique, cette mesure permettra d’améliorer les « connaissances sur les personnes qui cherchent à venir au Royaume-Uni et d’empêcher les personnes qui représentent une menace ».

Continue Reading
Advertisement

Les + lus