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Quels sont les 10 villes les plus chères pour passer des vacances

Partir en vacances est souvent synonyme de détente, de découverte et de plaisir. Cependant, certaines destinations peuvent se révéler assez onéreuses pour les voyageurs. Dans cet article, Evasigo vous présentera les dix villes les plus chères au monde où il faut ouvrir son porte-monnaie sans compter pour vivre une expérience inoubliable.

  1. Singapour :
    Située en Asie du Sud-Est, Singapour est connue pour être l’une des villes les plus chères au monde. Les hébergements, les restaurants et les transports y sont souvent plus coûteux que dans de nombreuses autres destinations. Cependant, cette cité-État offre également une qualité de vie exceptionnelle et des attractions touristiques remarquables.
  2. Zurich, Suisse :
    La Suisse est réputée pour ses paysages pittoresques, mais elle est également connue pour être un pays cher. Zurich, sa plus grande ville, ne fait pas exception à cette règle. Les prix élevés des hôtels, des restaurants et des activités peuvent faire grimper rapidement la facture des vacances. Toutefois, la beauté de la vieille ville, les musées de renommée mondiale et l’ambiance cosmopolite en font une destination attrayante malgré tout.
  3. Oslo, Norvège :
    La capitale norvégienne est un véritable joyau scandinave, mais elle est aussi l’une des villes les plus coûteuses d’Europe. Les prix élevés des logements, des repas et des boissons peuvent peser lourdement sur le budget des voyageurs. Cependant, la richesse culturelle, les parcs verdoyants et l’atmosphère chaleureuse en font une destination qui vaut la peine d’être découverte.
  4. New York, États-Unis :
    La « Grosse Pomme » est une ville qui ne dort jamais et qui fait rêver de nombreux voyageurs. Cependant, New York peut également se révéler être une destination coûteuse. Les hôtels, les restaurants, les attractions touristiques et même les déplacements en métro peuvent représenter des dépenses importantes. Néanmoins, l’effervescence de Times Square, les gratte-ciel emblématiques et les nombreux musées en font une expérience unique.
  5. Paris, France :
    La Ville Lumière est depuis longtemps l’une des destinations touristiques les plus prisées au monde. Cependant, Paris est également réputée pour être une ville chère. Les hôtels, les restaurants gastronomiques et les sites touristiques populaires peuvent rapidement peser sur le budget des visiteurs. Cependant, la beauté des Champs-Élysées, la majesté de la Tour Eiffel et les musées renommés comme le Louvre justifient pleinement une visite dans cette ville romantique.
  6. Tokyo, Japon :
    Tokyo est une métropole dynamique où tradition et modernité se rencontrent. Malheureusement, cette expérience unique a un prix. Les hôtels, la nourriture, les transports et même les divertissements peuvent coûter cher à Tokyo. Toutefois, l’effervescence des quartiers animés, les temples traditionnels, les jardins paisibles et la cuisine délicieuse font de Tokyo une destination fascinante malgré les dépenses.
  7. Sydney, Australie :
    Avec son climat ensoleillé, ses plages magnifiques et son ambiance décontractée, Sydney est une ville prisée des voyageurs. Cependant, elle peut également être coûteuse. Les logements, les repas au restaurant et les activités touristiques peuvent rapidement faire grimper la facture. Néanmoins, l’opéra emblématique, le pont du port de Sydney et les plages de renommée internationale font de cette ville une destination attrayante pour de nombreux voyageurs.
  8. Londres, Royaume-Uni :
    La capitale britannique est une ville dynamique et cosmopolite où l’histoire et la modernité se côtoient. Malheureusement, Londres est également connue pour ses prix élevés. Les hôtels, les restaurants, les transports et même les attractions touristiques peuvent coûter cher. Cependant, la majesté du palais de Buckingham, la grandeur du British Museum et l’atmosphère unique de Covent Garden justifient amplement une visite dans cette ville fascinante.
  9. Dubaï, Émirats arabes unis :
    Dubaï est synonyme de luxe et d’opulence. Cette ville futuriste du Moyen-Orient est réputée pour ses hôtels de luxe, ses centres commerciaux extravagants et ses attractions uniques. Cependant, vivre cette expérience a un coût élevé. Les prix des hébergements, des restaurants haut de gamme et des activités touristiques peuvent être exorbitants. Néanmoins, les gratte-ciel futuristes, les plages de sable fin et les stations de ski en intérieur en font une destination hors du commun.
  10. Copenhague, Danemark :
    Copenhague, la capitale danoise, est une ville moderne et écologique qui attire de nombreux visiteurs. Cependant, elle est également l’une des villes les plus chères d’Europe. Les prix des hôtels, des repas et des boissons peuvent être élevés, ce qui peut représenter un défi pour les voyageurs au budget limité. Néanmoins, la beauté de Nyhavn, l’architecture avant-gardiste et la philosophie du hygge qui invite à la convivialité font de Copenhague une destination inoubliable.

Conclusion :
Partir en vacances dans les villes les plus chères du monde peut représenter un défi financier, mais cela n’empêche pas de vivre des expériences uniques et mémorables. Ces destinations offrent souvent des attractions touristiques exceptionnelles, une richesse culturelle remarquable et une qualité de vie élevée. Si vous avez le budget nécessaire, n’hésitez pas à explorer ces villes où le luxe et le charme se rencontrent pour des vacances inoubliables.

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Les 7 mesures proposées par le maire de Nice pour réduire les locations saisonnières de « 50% minimum »

D’après le journal Nice-Matin, le maire de Nice, Christian Estrosi, souhaite renforcer les restrictions sur les locations saisonnières. Lors d’une conférence de presse tenue le jeudi 14 novembre, il a dévoilé sept nouvelles mesures visant à réduire de « 50% minimum » le nombre de logements proposés sur des plateformes comme Airbnb.

Déjà connue pour son engagement dans la régulation des locations saisonnières, Nice entend s’appuyer sur la récente loi « anti-Airbnb », adoptée le 7 novembre, pour aller encore plus loin dans cette lutte.

Christian Estrosi a rappelé son objectif de mettre en place une réglementation stricte afin de préserver l’accès des habitants à des logements de longue durée. Ce nouveau plan repose sur une étude d’impact réalisée par la Métropole Nice Côte d’Azur, incluant une cartographie détaillée des quartiers.

« Je ne souhaite pas interdire les meublés touristiques mais éviter qu’ils submergent la ville. Mon but n’est pas de pénaliser les particuliers qui louent une chambre pour compléter leurs revenus, mais de contrer les entreprises qui monopolisent un bien commun essentiel pour les Niçois », a-t-il précisé.

Les 7 mesures envisagées :

  1. Quotas par quartier : Les propriétaires dépassant ces quotas devront compenser en transformant un local de surface équivalente en logement.
  2. Durée des autorisations réduite : Les autorisations temporaires seraient ramenées de six à cinq ans.
  3. Réduction du nombre de jours autorisés : Les résidences principales ne pourraient plus être louées plus de 90 jours par an, contre 120 actuellement.
  4. Maintien des dispositifs dérogatoires : Le modèle mixte, permettant une location touristique estivale et un usage étudiant le reste de l’année, serait conservé.
  5. Documents obligatoires pour les propriétaires : Fourniture d’un diagnostic de performance énergétique (DPE) conforme et d’une attestation sur l’honneur du respect du règlement de copropriété lors de la demande de changement d’usage.
  6. Amendes renforcées : Des sanctions administratives pouvant atteindre 20 000 euros, avec des majorations en cas de récidive.
  7. Zones spécifiques dans le PLU : Création de secteurs limitant les locations saisonnières aux seules résidences principales via le Plan Local d’Urbanisme.

Ces mesures visent à contenir l’impact des locations touristiques sur le marché immobilier local et à préserver l’équilibre entre tourisme et qualité de vie des résidents permanents.

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Le voilier Croisière Orient Express Corinthian : l’élégance maritime redéfinie

Cent quarante ans après ses premiers trains de luxe, la légende Orient Express s’étend avec le lancement d’Orient Express Corinthian, le plus grand voilier au monde, prêt à réinventer l’art du voyage en mer. Fruit d’une collaboration inédite entre Accor, les Chantiers de l’Atlantique et LVMH, ce navire allie un design innovant et une propulsion hybride avancée, en réponse aux défis écologiques.

Prévu pour juin 2026, ce bijou de technologie et de style vogue entre Méditerranée, Adriatique et Caraïbes. Construit avec la technologie « SolidSail », le voilier combine l’énergie vélique et le gaz naturel liquéfié (GNL) pour réduire son empreinte environnementale. Doté de trois mâts inclinables et d’une surface de voilure de 4 500 m², il peut atteindre 17 nœuds, propulsé uniquement par le vent.

Avec des suites allant de 45 à 230 m², Orient Express Corinthian assure intimité et confort de haut niveau. Le design, signé par Maxime d’Angeac, intègre bois, cuir et marbre, rappelant l’âge d’or de l’Orient Express et le raffinement artisanal français.

Les passagers auront accès à cinq restaurants, huit bars, un cabaret Art déco, une marina avec activités nautiques, et un couloir de nage de 16,6 m sur le pont supérieur. Ce navire incarne un retour au voyage lent, redéfinissant le luxe sur mer avec des escales choisies pour leur beauté et leur authenticité.

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Dès mars 2025, un « visa » obligatoire pour se rendre au Royaume-Uni

À partir de mars 2025, les voyageurs français, italiens et monégasques devront obtenir un ETA (Electronic Travel Authorization) pour se rendre au Royaume-Uni. Cette mesure entrera en vigueur le 2 avril 2025.

Qui sera concerné ?

Initialement, l’ETA était destiné aux ressortissants du Qatar, du Bahreïn, du Koweït, d’Arabie Saoudite et de Jordanie. Cependant, cette exigence sera étendue à d’autres nationalités à partir de l’année prochaine. Plus précisément, le système ETA sera introduit pour tous les visiteurs du Royaume-Uni qui n’ont actuellement pas besoin de visa pour des séjours de courte durée, y compris les ressortissants européens.

Comment ça marche ?

L’ETA est un document similaire à l’ESTA des États-Unis. Pour obtenir l’ETA britannique, il suffit de télécharger l’application dédiée ou de se rendre sur le site Internet. Le coût de l’ETA est de 10 livres sterling, soit environ 12 euros, et il sera valable deux ans à compter de sa délivrance. En cas de refus de l’ETA, il faudra alors faire une demande de visa.

Que permet l’ETA ?

Avec l’ETA, le gouvernement britannique autorise une durée de séjour maximale de 6 mois pour le tourisme, les visites familiales et amicales, les affaires ou les études de courte durée. De plus, l’ETA permet une durée de séjour de 3 mois pour les travailleurs créatifs avec un visa de travail, pour des engagements rémunérés autorisés, ou pour transiter par le Royaume-Uni, même sans passer par le contrôle aux frontières britanniques.

Pourquoi une telle mise en place ?

Selon le gouvernement britannique, cette mesure permettra d’améliorer les « connaissances sur les personnes qui cherchent à venir au Royaume-Uni et d’empêcher les personnes qui représentent une menace ».

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