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Gestion des avis sur Internet : TripAdvisor lance un outil unique pour les restaurateurs

Tripadvisor lance « Plateforme d’avis« , un portail pour aider les restaurants à gérer facilement leurs avis en ligne sur les principaux sites et applications de restauration.

Ce nouveau service permet aux restaurateurs de répondre aux avis sur :

  • Tripadvisor,
  • LaFourchette,
  • Google,
  • Facebook,
  • Yelp
  • et bien d’autres…

Cet outil est gérable avec une seule plateforme facile à utiliser. 90 % des personnes interrogées déclarent que les évaluations des restaurants comptent dans le choix d’un lieu de restauration, démontrant l’importance de prêter attention aux retours des clients en ligne. 63 % des consommateurs sont également plus susceptibles de réserver lorsque les propriétaires répondent aux avis en ligne.
Voir la plateforme ici

Comment fonctionne la Plateforme d’avis Tripadvisor ?

La Plateforme d’avis Tripadvisor affiche un aperçu instantané des évaluations et des avis provenant de plusieurs plateformes puis permet aux propriétaires de cliquer pour explorer en détail les avis afin que les restaurateurs puissent analyser ce qui fonctionne et/ou ce qu’ils peuvent encore améliorer dans leur expérience client.

Ils peuvent ainsi répondre rapidement à chaque avis, remercier leurs clients pour leurs commentaires et partager leur version des faits. La Réponse de la direction qu’ils partagent est ensuite automatiquement affichée sur le site où l’avis a été soumis à l’origine, ce qui facilite la gestion de la réputation en ligne et réduit le temps nécessaire à cette activité.

La Plateforme d’avis Tripadvisor est une solution disponible par abonnement, pour tous les restaurateurs, les opérateurs et les équipes de marketing, et peut être souscrit sur une base mensuelle ou annuelle, sur tous les marchés où Tripadvisor opère.

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Répondre aux avis en ligne est une nécessité

Des études montrent que pour plus de 90 % des consommateurs les avis des restaurants sont importants lorsqu’ils choisissent un lieu où manger, ce qui montre à quel point il est important de prêter attention à ce que les clients disent en ligne. Les avis en ligne ne se contentent pas de montrer les expériences des clients passés, mais permettent également aux propriétaires de montrer le meilleur d’un établissement aux futurs clients potentiels.

L’étude IPSOS Mori, qui a interrogé plus de 23 000 consommateurs à travers le monde, a également montré que six personnes interrogées sur dix (63 %) ont déclaré qu’elles seraient plus enclines à réserver si le propriétaire répondait à la majorité des avis. Et lorsqu’un propriétaire de restaurant laisse des réponses personnalisées aux avis, plus des trois quarts (77 %) des personnes interrogées ont déclaré qu’elles avaient, en conséquence, plus de chances de réserver.

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Hausse de la taxe sur les billets d’avion : ce qui va changer

La taxe de solidarité sur les billets d’avion (TSBA) revient avec un nouveau barème après plusieurs rebondissements politiques.

Un retour controversé

Après avoir été suspendue lors de la motion de censure, la hausse de la TSBA fait son retour dans le budget 2025, qui sera présenté le 3 février. Initialement, Air France et d’autres compagnies avaient anticipé une hausse importante, mais le Sénat avait ensuite ajusté les montants avant que le gouvernement ne soit renversé.

Les nouveaux tarifs

La Commission mixte paritaire a finalement fixé les nouveaux montants :

  • Vols européens : 7,40 € (classe éco), plus en classe avant
  • Moyen-courrier : 15 € en éco, 80 € en classe avant
  • Long-courrier : 40 € en éco, 120 € en classe avant
  • Lignes vers l’Outre-Mer et la Corse : tarif réduit de 2,63 €

Ces nouvelles taxes seront appliquées à partir du 1er mars 2025.

Des questions en suspens

Les professionnels du voyage s’inquiètent des changements de dernière minute et des remboursements du trop-perçu par les compagnies. Par ailleurs, l’Europe pourrait contester l’exonération pour l’Outre-Mer et la Corse.

Avec cette hausse, l’État espère récupérer 800 à 850 millions d’euros, tout en accordant un crédit d’impôt pour l’achat de carburants durables. Reste à voir comment les compagnies et les voyageurs réagiront.

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Christian Estrosi signe son arrêté contre les bateaux de croisière

Le maire de Nice et président de la Métropole, Christian Estrosi, annonce (article Nice-Matin du 24/01/2025) qu’il signera ce vendredi un arrêté interdisant le débarquement et l’embarquement des bateaux de croisière de plus de 900 passagers dans les gares maritimes de la Métropole.

Une interdiction qui fait débat

Lors de ses vœux, Christian Estrosi avait surpris en annonçant vouloir bannir les plus gros navires dès cet été. Son objectif : lutter contre le sur-tourisme et la pollution engendrée par ces « hôtels flottants ».

« Je ne veux pas que des bateaux qui polluent et dont les passagers ne consomment rien, mais laissent leurs déchets, viennent à Nice. On a empêché le béton d’étouffer la ville, ce n’est pas pour laisser le sur-tourisme prendre le relais. »

Si cette décision est saluée par l’opposition écologiste, elle prend de court Villefranche-sur-Mer, principal port concerné. Son maire, Christophe Trojani, affirme n’avoir pas été informé de cette mesure qui pourrait lourdement impacter l’économie locale.

Une application encore floue

La Métropole ne peut pas interdire les bateaux de mouiller dans la rade, compétence relevant de l’État. En revanche, elle contrôle l’accès à la gare maritime de Villefranche, et c’est là qu’elle compte agir.

« Si les croisiéristes ne peuvent plus débarquer, les compagnies seront dissuadées de s’arrêter ici. »

Reste à voir si tous les maires du littoral suivront cette initiative, qui divise déjà élus et acteurs du tourisme.

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Les 7 mesures proposées par le maire de Nice pour réduire les locations saisonnières de « 50% minimum »

D’après le journal Nice-Matin, le maire de Nice, Christian Estrosi, souhaite renforcer les restrictions sur les locations saisonnières. Lors d’une conférence de presse tenue le jeudi 14 novembre, il a dévoilé sept nouvelles mesures visant à réduire de « 50% minimum » le nombre de logements proposés sur des plateformes comme Airbnb.

Déjà connue pour son engagement dans la régulation des locations saisonnières, Nice entend s’appuyer sur la récente loi « anti-Airbnb », adoptée le 7 novembre, pour aller encore plus loin dans cette lutte.

Christian Estrosi a rappelé son objectif de mettre en place une réglementation stricte afin de préserver l’accès des habitants à des logements de longue durée. Ce nouveau plan repose sur une étude d’impact réalisée par la Métropole Nice Côte d’Azur, incluant une cartographie détaillée des quartiers.

« Je ne souhaite pas interdire les meublés touristiques mais éviter qu’ils submergent la ville. Mon but n’est pas de pénaliser les particuliers qui louent une chambre pour compléter leurs revenus, mais de contrer les entreprises qui monopolisent un bien commun essentiel pour les Niçois », a-t-il précisé.

Les 7 mesures envisagées :

  1. Quotas par quartier : Les propriétaires dépassant ces quotas devront compenser en transformant un local de surface équivalente en logement.
  2. Durée des autorisations réduite : Les autorisations temporaires seraient ramenées de six à cinq ans.
  3. Réduction du nombre de jours autorisés : Les résidences principales ne pourraient plus être louées plus de 90 jours par an, contre 120 actuellement.
  4. Maintien des dispositifs dérogatoires : Le modèle mixte, permettant une location touristique estivale et un usage étudiant le reste de l’année, serait conservé.
  5. Documents obligatoires pour les propriétaires : Fourniture d’un diagnostic de performance énergétique (DPE) conforme et d’une attestation sur l’honneur du respect du règlement de copropriété lors de la demande de changement d’usage.
  6. Amendes renforcées : Des sanctions administratives pouvant atteindre 20 000 euros, avec des majorations en cas de récidive.
  7. Zones spécifiques dans le PLU : Création de secteurs limitant les locations saisonnières aux seules résidences principales via le Plan Local d’Urbanisme.

Ces mesures visent à contenir l’impact des locations touristiques sur le marché immobilier local et à préserver l’équilibre entre tourisme et qualité de vie des résidents permanents.

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