fbpx
Connect with us

Actualité

Bilan positif pour la première année d’exploitation des trains Frecciarossa en France

Une contribution à la croissance du marché ferroviaire français symbolisée par
le cap du millionième siège vendu

Après un an d’exploitation des trains Frecciarossa sur le marché ferroviaire français, les objectifs fixés au lancement du projet sont largement atteints. Le taux de remplissage de 70% en moyenne confirme l’attractivité de l’offre alternative de mobilité écoresponsable portée par Trenitalia. Le haut niveau de satisfaction des clients qui voyagent à bord du Frecciarossa 1000, un train confortable, sûr et écologique, capable de donner le meilleur de l’expérience de la grande vitesse, atteste de la pertinence des choix stratégiques de Trenitalia. Trenitalia propose aujourd’hui 2 allers-retours quotidiens entre Paris et Milan, le matin et l’après-midi.

Depuis Paris, la ligne dessert Lyon, Chambéry, Modane, Bardonecchia (sur un des deux allers-retours quotidiens depuis le 11 décembre), Turin et Milan. Trenitalia propose en plus 3 allers-retours chaque jour entre Paris et Lyon, avec un arrêt à la fois à Lyon PartDieu et à Lyon Perrache, ce qui permet d’offrir 5 allers-retours quotidiens entre Paris et Lyon. Cet élargissement de l’offre a contribué à la croissance du marché, sachant que 37%* des personnes qui voyagent à bord du Frecciarossa n’avaient jamais fait ce trajet en train avant Trenitalia. « En un an d’exploitation de la ligne Paris-Lyon, la plus fréquentée d’Europe, ces 5 allers-retours représentent déjà près de 20% de l’offre. Cela permet de proposer plus de trains, donc plus de fréquences aux voyageurs. Nous savons de notre expérience en Italie que l’augmentation du nombre de fréquences et le choix de différents services sont des leviers très importants dans l’attractivité du train et la croissance du marché. » précise Roberto Rinaudo, Président de Trenitalia France.

Le cap symbolique, franchi en décembre, du millionième siège vendu dès la première année d’exploitation valide les choix stratégiques de Trenitalia en faveur d’une politique tarifaire simple et flexible, de classes de confort adaptées à tous les besoins (4 classes de confort : Executive, Sala Meeting**, Business et Standard, et, pour les 2 dernières, la possibilité de choisir gratuitement entre 2 atmosphères : Silenzio et Allegro), d’une large gamme de services comme le wifi illimité et l’accès à une plateforme de contenus gratuits et enfin, d’une offre de restauration soignée aux saveurs de l’Italie (disponible en voiture bar ou en service à la place).

Une enquête de satisfaction réalisée à bord des trains Frecciarossa par OpinionWay à la demande de Trenitalia en septembre 2022 sur la ligne Paris<>Milan et la ligne Paris<>Lyon fait apparaitre un très haut niveau de satisfaction :

• 98% des clients, dont près de 60% voyageaient à bord du Frecciarossa pour la première fois, se disent satisfaits du voyage à bord ;

• 91% sont satisfaits du rapport qualité/prix ;

• 92% envisagent naturellement le train Frecciarossa pour un futur trajet ; • 96% se disent prêts à recommander Trenitalia à leurs proches ;

• Enfin, les voyageurs se disent très satisfaits du personnel de bord en attribuant une note de 8,4/9.

Actualité

Hausse de la taxe sur les billets d’avion : ce qui va changer

La taxe de solidarité sur les billets d’avion (TSBA) revient avec un nouveau barème après plusieurs rebondissements politiques.

Un retour controversé

Après avoir été suspendue lors de la motion de censure, la hausse de la TSBA fait son retour dans le budget 2025, qui sera présenté le 3 février. Initialement, Air France et d’autres compagnies avaient anticipé une hausse importante, mais le Sénat avait ensuite ajusté les montants avant que le gouvernement ne soit renversé.

Les nouveaux tarifs

  • L’augmentation s’appliquera à tous les vols au départ de France.
  • Le nouveau barème a été décidé par la Commission mixte paritaire.
  • Les compagnies aériennes devront verser cette taxe pour tout voyage effectué à partir du 1er janvier 2025, même pour les billets émis avant le vote de la loi.

Voici un tableau comparatif des montants de la taxe :

DestinationClasseAncien montantNouveau montant
Europe et FranceÉconomique2,63 €7,40 €
Europe et FranceAffaires20,27 €30 €
IntermédiaireÉconomique7,51 €15 €
Longue distanceÉconomique7,51 €40 €
Longue distanceAffaires63,07 €120 €

Des questions en suspens

Les professionnels du voyage s’inquiètent des changements de dernière minute et des remboursements du trop-perçu par les compagnies. Par ailleurs, l’Europe pourrait contester l’exonération pour l’Outre-Mer et la Corse.

Avec cette hausse, l’État espère récupérer 800 à 850 millions d’euros, tout en accordant un crédit d’impôt pour l’achat de carburants durables. Reste à voir comment les compagnies et les voyageurs réagiront.

Continue Reading

Actualité

Christian Estrosi signe son arrêté contre les bateaux de croisière

Le maire de Nice et président de la Métropole, Christian Estrosi, annonce (article Nice-Matin du 24/01/2025) qu’il signera ce vendredi un arrêté interdisant le débarquement et l’embarquement des bateaux de croisière de plus de 900 passagers dans les gares maritimes de la Métropole.

Une interdiction qui fait débat

Lors de ses vœux, Christian Estrosi avait surpris en annonçant vouloir bannir les plus gros navires dès cet été. Son objectif : lutter contre le sur-tourisme et la pollution engendrée par ces « hôtels flottants ».

« Je ne veux pas que des bateaux qui polluent et dont les passagers ne consomment rien, mais laissent leurs déchets, viennent à Nice. On a empêché le béton d’étouffer la ville, ce n’est pas pour laisser le sur-tourisme prendre le relais. »

Si cette décision est saluée par l’opposition écologiste, elle prend de court Villefranche-sur-Mer, principal port concerné. Son maire, Christophe Trojani, affirme n’avoir pas été informé de cette mesure qui pourrait lourdement impacter l’économie locale.

Une application encore floue

La Métropole ne peut pas interdire les bateaux de mouiller dans la rade, compétence relevant de l’État. En revanche, elle contrôle l’accès à la gare maritime de Villefranche, et c’est là qu’elle compte agir.

« Si les croisiéristes ne peuvent plus débarquer, les compagnies seront dissuadées de s’arrêter ici. »

Reste à voir si tous les maires du littoral suivront cette initiative, qui divise déjà élus et acteurs du tourisme.

Continue Reading

Actualité

Les 7 mesures proposées par le maire de Nice pour réduire les locations saisonnières de « 50% minimum »

D’après le journal Nice-Matin, le maire de Nice, Christian Estrosi, souhaite renforcer les restrictions sur les locations saisonnières. Lors d’une conférence de presse tenue le jeudi 14 novembre, il a dévoilé sept nouvelles mesures visant à réduire de « 50% minimum » le nombre de logements proposés sur des plateformes comme Airbnb.

Déjà connue pour son engagement dans la régulation des locations saisonnières, Nice entend s’appuyer sur la récente loi « anti-Airbnb », adoptée le 7 novembre, pour aller encore plus loin dans cette lutte.

Christian Estrosi a rappelé son objectif de mettre en place une réglementation stricte afin de préserver l’accès des habitants à des logements de longue durée. Ce nouveau plan repose sur une étude d’impact réalisée par la Métropole Nice Côte d’Azur, incluant une cartographie détaillée des quartiers.

« Je ne souhaite pas interdire les meublés touristiques mais éviter qu’ils submergent la ville. Mon but n’est pas de pénaliser les particuliers qui louent une chambre pour compléter leurs revenus, mais de contrer les entreprises qui monopolisent un bien commun essentiel pour les Niçois », a-t-il précisé.

Les 7 mesures envisagées :

  1. Quotas par quartier : Les propriétaires dépassant ces quotas devront compenser en transformant un local de surface équivalente en logement.
  2. Durée des autorisations réduite : Les autorisations temporaires seraient ramenées de six à cinq ans.
  3. Réduction du nombre de jours autorisés : Les résidences principales ne pourraient plus être louées plus de 90 jours par an, contre 120 actuellement.
  4. Maintien des dispositifs dérogatoires : Le modèle mixte, permettant une location touristique estivale et un usage étudiant le reste de l’année, serait conservé.
  5. Documents obligatoires pour les propriétaires : Fourniture d’un diagnostic de performance énergétique (DPE) conforme et d’une attestation sur l’honneur du respect du règlement de copropriété lors de la demande de changement d’usage.
  6. Amendes renforcées : Des sanctions administratives pouvant atteindre 20 000 euros, avec des majorations en cas de récidive.
  7. Zones spécifiques dans le PLU : Création de secteurs limitant les locations saisonnières aux seules résidences principales via le Plan Local d’Urbanisme.

Ces mesures visent à contenir l’impact des locations touristiques sur le marché immobilier local et à préserver l’équilibre entre tourisme et qualité de vie des résidents permanents.

Continue Reading
Advertisement

Les + lus