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Costa Croisières a repris son activité à Marseille le 4 juillet

Costa Croisières a repris son activité à Marseille avec le Costa Smeralda, un des premiers navires de croisière propulsé au gaz naturel liquéfié (GNL), technologie de propulsion la plus avancée pour réduire les émissions.
La reprise s’est effectué grâce un protocole sanitaire renforcé, défini en étroite collaboration avec les autorités sanitaires pour la sécurité de tous.
En marge de cette reprise durable et solidaire, la collaboration entre Costa Croisières et la Banque Alimentaire des Bouches-du-Rhône redémarre afin de venir au soutien des riverains locaux.

Dans un communiqué, Costa Croisières annonce la reprise de ses croisières à partir du port de Marseille pour un itinéraire exceptionnel en Méditerranée occidentale vers l’Italie, la France et l’Espagne.

La reprise des croisières de Costa s’effectue sous le signe de la durabilité et de la responsabilité. Le positionnement à Marseille de son navire amiral propulsé au GNL le Costa Smeralda, la technologie de propulsion la plus avancée grâce à ses technologies durables en est la démonstration la plus claire.

Le GNL est la technologie de propulsion la plus avancée pour réduire les émissions. Par ailleurs, le Costa Smeralda est équipé d’un système de gestion intelligente de l’énergie, une utilisation responsable de l’eau et a des mesures de réduction de la consommation de plastique et de microplastiques, qui permettent de limiter son impact environnemental.


Costa a été la première compagnie de croisière à adopter l’Index Environnemental des navires (ESI) qui identifie les navires et les compagnies ayant les meilleures pratiques pour réduire leurs émissions, et nous avons été l’une des premières à coopérer avec les autorités locales afin de définir le futur durable des ports, notamment grâce à la signature et la mise en place de la Charte Bleue qui prévoit plusieurs solutions innovantes pour limiter l’impact du trafic de la croisière sur l’environnement.

Le programme solidaire de dons de repas en partenariat avec la Banque Alimentaire des Bouches-du-Rhône reprend également, afin de venir en aide aux Marseillais dans le besoin. Cette initiative, qui a débuté en 2018 et a déjà permis de livrer plus de 10 000 portions de repas à Marseille, soit près de 5 tonnes de nourriture.

Les repas seront donnés à la Résidence William Booth de la fondation de l’Armée du Salut à Marseille. « Le 4 juillet est une véritable fête pour Costa Croisières car cette date symbolise la reprise de notre activité en toute sécurité, grâce à un protocole sanitaire renforcé » s’est enthousiasmé Raffaele D’Ambrosio, Directeur Général France et Vice-Président de Costa Croisières. « Nous sommes engagés en faveur d’une reprise durable et responsable à Marseille et renouvelons nos engagements environnementaux, économiques et sociaux. La ville et le port de Marseille sont des partenaires historiques de Costa depuis plus de 25 ans.

Nous sommes très enthousiastes de faire découvrir la ville à nos passagers et d’accroître notre contribution à la vie locale, au bénéfice de tous les Marseillais ». Le redémarrage international de Costa Croisières est également le symbole d’une reprise que les passagers français et européens réclamaient depuis plus d’un an. L’offre de Costa Croisières pour l’été 2021 est adapté pour répondre à leurs attentes et aux situations sanitaires européennes, grâce à des destinations locales de proximité en Méditerranée, permettant d’offrir une véritable expérience de vacances sûre et sereine.

Les destinations de cet été incluent des croisières avec des arrêts prolongés dans les ports, de nouveaux programmes d’excursions et de nouvelles expériences gastronomiques, tant en Méditerranée orientale qu’occidentale, y compris en France, en Italie, et en Espagne. Ces nouvelles mesures permettront aux croisiéristes de profiter davantage des excursions dans des destinations exclusives, hors des sentiers battus.

« Nous sommes très heureux de la reprise à Marseille car elle symbolise une avancée en faveur de notre reprise graduelle et responsable. Surtout, nous sommes fiers de contribuer à la reprise sociale et durable des croisières avec notre navire amiral à propulsion au LNG, ainsi qu’au redémarrage de notre programme solidaire de dons de repas pour venir au soutien des riverains locaux les plus fragiles » a indiqué Mario Zanetti, Président de Costa Croisières. « Avant la crise sanitaire, notre entreprise générait pour la France un impact économique de 481 millions d’euros, avec plus de 2 100 emplois directs et indirects dont près de 500 partenaires économiques. Cette reprise nous permet de revitaliser l’économie locale ainsi que l’ensemble des écosystèmes touristique et maritime. Nous sommes prêts à travailler avec les acteurs locaux pour nous assurer d’apporter des bénéfices aux communautés locales ».

De nombreux autres navires de Costa Croisières navigueront également cet été en Europe, dont le Costa Deliziosa et le Costa Luminosa en Grèce, et le Costa Firenze, nouveau navire inspiré par la renaissance florentine qui effectuera ses premières croisières au départ de Savone pour un itinéraire en Italie également à partir du 4 juillet pour un itinéraire italien. Par ailleurs, de nouvelles offres de croisières ont été récemment annoncées pour la fin de l’année 2021 et en 2022 avec de nouveaux programmes en Méditerranée, aux Caraïbes et en Amérique du Sud alors qu’à partir du printemps 2022, les trois navires les plus innovants du groupe, le Costa Firenze, le Costa Toscana et le Costa Smeralda, navigueront en Méditerranée.

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Les 7 mesures proposées par le maire de Nice pour réduire les locations saisonnières de « 50% minimum »

D’après le journal Nice-Matin, le maire de Nice, Christian Estrosi, souhaite renforcer les restrictions sur les locations saisonnières. Lors d’une conférence de presse tenue le jeudi 14 novembre, il a dévoilé sept nouvelles mesures visant à réduire de « 50% minimum » le nombre de logements proposés sur des plateformes comme Airbnb.

Déjà connue pour son engagement dans la régulation des locations saisonnières, Nice entend s’appuyer sur la récente loi « anti-Airbnb », adoptée le 7 novembre, pour aller encore plus loin dans cette lutte.

Christian Estrosi a rappelé son objectif de mettre en place une réglementation stricte afin de préserver l’accès des habitants à des logements de longue durée. Ce nouveau plan repose sur une étude d’impact réalisée par la Métropole Nice Côte d’Azur, incluant une cartographie détaillée des quartiers.

« Je ne souhaite pas interdire les meublés touristiques mais éviter qu’ils submergent la ville. Mon but n’est pas de pénaliser les particuliers qui louent une chambre pour compléter leurs revenus, mais de contrer les entreprises qui monopolisent un bien commun essentiel pour les Niçois », a-t-il précisé.

Les 7 mesures envisagées :

  1. Quotas par quartier : Les propriétaires dépassant ces quotas devront compenser en transformant un local de surface équivalente en logement.
  2. Durée des autorisations réduite : Les autorisations temporaires seraient ramenées de six à cinq ans.
  3. Réduction du nombre de jours autorisés : Les résidences principales ne pourraient plus être louées plus de 90 jours par an, contre 120 actuellement.
  4. Maintien des dispositifs dérogatoires : Le modèle mixte, permettant une location touristique estivale et un usage étudiant le reste de l’année, serait conservé.
  5. Documents obligatoires pour les propriétaires : Fourniture d’un diagnostic de performance énergétique (DPE) conforme et d’une attestation sur l’honneur du respect du règlement de copropriété lors de la demande de changement d’usage.
  6. Amendes renforcées : Des sanctions administratives pouvant atteindre 20 000 euros, avec des majorations en cas de récidive.
  7. Zones spécifiques dans le PLU : Création de secteurs limitant les locations saisonnières aux seules résidences principales via le Plan Local d’Urbanisme.

Ces mesures visent à contenir l’impact des locations touristiques sur le marché immobilier local et à préserver l’équilibre entre tourisme et qualité de vie des résidents permanents.

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Le voilier Croisière Orient Express Corinthian : l’élégance maritime redéfinie

Cent quarante ans après ses premiers trains de luxe, la légende Orient Express s’étend avec le lancement d’Orient Express Corinthian, le plus grand voilier au monde, prêt à réinventer l’art du voyage en mer. Fruit d’une collaboration inédite entre Accor, les Chantiers de l’Atlantique et LVMH, ce navire allie un design innovant et une propulsion hybride avancée, en réponse aux défis écologiques.

Prévu pour juin 2026, ce bijou de technologie et de style vogue entre Méditerranée, Adriatique et Caraïbes. Construit avec la technologie « SolidSail », le voilier combine l’énergie vélique et le gaz naturel liquéfié (GNL) pour réduire son empreinte environnementale. Doté de trois mâts inclinables et d’une surface de voilure de 4 500 m², il peut atteindre 17 nœuds, propulsé uniquement par le vent.

Avec des suites allant de 45 à 230 m², Orient Express Corinthian assure intimité et confort de haut niveau. Le design, signé par Maxime d’Angeac, intègre bois, cuir et marbre, rappelant l’âge d’or de l’Orient Express et le raffinement artisanal français.

Les passagers auront accès à cinq restaurants, huit bars, un cabaret Art déco, une marina avec activités nautiques, et un couloir de nage de 16,6 m sur le pont supérieur. Ce navire incarne un retour au voyage lent, redéfinissant le luxe sur mer avec des escales choisies pour leur beauté et leur authenticité.

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Dès mars 2025, un « visa » obligatoire pour se rendre au Royaume-Uni

À partir de mars 2025, les voyageurs français, italiens et monégasques devront obtenir un ETA (Electronic Travel Authorization) pour se rendre au Royaume-Uni. Cette mesure entrera en vigueur le 2 avril 2025.

Qui sera concerné ?

Initialement, l’ETA était destiné aux ressortissants du Qatar, du Bahreïn, du Koweït, d’Arabie Saoudite et de Jordanie. Cependant, cette exigence sera étendue à d’autres nationalités à partir de l’année prochaine. Plus précisément, le système ETA sera introduit pour tous les visiteurs du Royaume-Uni qui n’ont actuellement pas besoin de visa pour des séjours de courte durée, y compris les ressortissants européens.

Comment ça marche ?

L’ETA est un document similaire à l’ESTA des États-Unis. Pour obtenir l’ETA britannique, il suffit de télécharger l’application dédiée ou de se rendre sur le site Internet. Le coût de l’ETA est de 10 livres sterling, soit environ 12 euros, et il sera valable deux ans à compter de sa délivrance. En cas de refus de l’ETA, il faudra alors faire une demande de visa.

Que permet l’ETA ?

Avec l’ETA, le gouvernement britannique autorise une durée de séjour maximale de 6 mois pour le tourisme, les visites familiales et amicales, les affaires ou les études de courte durée. De plus, l’ETA permet une durée de séjour de 3 mois pour les travailleurs créatifs avec un visa de travail, pour des engagements rémunérés autorisés, ou pour transiter par le Royaume-Uni, même sans passer par le contrôle aux frontières britanniques.

Pourquoi une telle mise en place ?

Selon le gouvernement britannique, cette mesure permettra d’améliorer les « connaissances sur les personnes qui cherchent à venir au Royaume-Uni et d’empêcher les personnes qui représentent une menace ».

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