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Réouverture du terminal 1 à l’Aéroport De Paris

Le Groupe ADP réouvre aux passagers le terminal 1 , qui était fermé depuis le 30 mars 2020 à cause de la crise de la COVID. L’ensemble des terminaux des aéroports parisiens sont rouverts depuis le 3 décembre 2022, tournant ainsi la page de la crise sanitaire. Après plusieurs mois de travaux de modernisation, cette réouverture s’accompagne du dévoilement d’un tout nouveau parcours passager, incarnant pleinement les exigences de qualité de service et d’hospitalité. 

« Cette réouverture marque symboliquement la fin de la pandémie de COVID-19 pour les aéroports parisiens. Nous avons décidé de donner une nouvelle vie à cette infrastructure presque cinquantenaire en modernisant l’existant, en s’inscrivant pleinement dans la filiation de Paul Andreu. Le terminal 1, toujours pionnier, incarne le renouveau de l’accueil et de l’hospitalité sur les plateformes parisiennes, et notamment le meilleur du design et de la culture que nous souhaitons proposer à nos passagers », souligne Augustin de Romanet, Président-directeur général du Groupe ADP.

Une transformation de l’existant, dans la continuité de l’œuvre de Paul Andreu

Cette réouverture s’inscrit au cœur de la stratégie d’hospitalité et de qualité de service du Groupe ADP. Elle est marquée par la modernisation du corps central (revêtement marbre au sol, signalétique digitalisée, changement des points lumineux en LED, nouveaux équipements de smartisation) et un tout nouveau parcours passager international, dont le point d’arrivée est une nouvelle salle d’embarquement de 5 600 m².
La création de ces nouveaux espaces a été possible par la liaison entre les satellites 1,2 et 3 du terminal 1. Il s’agit-là de la première étape, imaginée et validée par Paul Andreu de son vivant. La vision finale et ultime réside en la liaison totale des sept satellites originels.

Une transformation de l’existant pour une amélioration de la qualité de service et de l’accueil des passagers
Le passager pourra bénéficier d’une infrastructure aux meilleurs standards de qualité de service et d’hospitalité que s’est fixé le Groupe ADP.
La création d’un nouveau parcours passager a, en effet, été l’opportunité de déployer tous nos savoirs faire en la matière : 

  • de Performance opérationnelle : 
    – Simplification du parcours : une seule entrée pour la zone internationale à la place de quatre tunnels, et mise en place d’équipements de self boarding permettant de fluidifier les embarquements. 
     – Création de volumes : avant et après les postes d’inspection filtrage, de façon à faciliter les contrôles, mais aussi dans la nouvelle salle d’embarquement.
  • de design :
     La salle d’embarquement proposée par Extime (la marque d’hospitalité du Groupe ADP) a été conçue et imaginée par deux designers français, Maxime Liautard et Hugo Toro, associés à l’époque mais aujourd’hui dans des agences distinctes, et propose une expérience de design et d’hospitalité unique autour de la thématique  » Paris est une fête « .
  • de culture : qui se déploie dans des espaces d’expositions intégrés dès la conception de l’infrastructure : dans le tunnel d’accès à la nouvelle salle d’embarquement internationale. Trois nouvelles expositions sont à découvrir à l’occasion de la réouverture :
     La « ballade » de Paris (tunnel d’accès à la nouvelle salle d’embarquement) : Jean-François Rauzier offre une découverte successive de reproductions de monuments et d’éléments d’architecture parisiens, présentant la ville de Paris de façon surréaliste, décalée, par juxtaposition de photographies et d’images.
    –  Archisable (zone publique, niveau départs) : exposition photographique qui rend hommage à l’œuvre de Paul Andreu, à travers le travail éphémère sur sable d’une soixantaine d’architectes.
    – Paris, les numéros 1 (zone réservée, satellite 3, niveau arrivées) : photographies produites par Thierry Bouët qui a arpenté les rues des vingt arrondissements de la capitale pour photographier les numéros 1 de chacune d’entre elles. 

Chiffrés clés terminal 1
Mise en service : mars 1974
Capacité annuelle : 10,2 millions de voyageurs 
Ensemble originel : un corps central de 195 000 m², 7 satellites d’embarquement d’une surface de 5 600 m² chacun ;
Le corps central, composé de 10 niveaux :
– niveau 1 : traitement des bagages
– niveau 2 : départs, boutiques et bureaux
– niveau 3 : départs
– niveau 4 : transferts (accès aux avions)
– niveau 5 : arrivées
– niveau 6 : services techniques et administratifs, accès au parc de stationnement
– niveaux 7, 8 et 9 : parc de stationnement
– niveau 10 : bureaux
Un nouveau bâtiment de jonction : 36 000 m² intégrant une nouvelle salle d’embarquement de 5 600 m².

Equipements : 
– Près de 90 déposes bagages et 130 bornes libre-service enregistrement multi-compagnies, ce qui fait du terminal 1 le mieux équipé de Paris-CDG. 
– Toutes les portes d’embarquement du parcours international sont équipées de self boarding gates pour faciliter l’embarquement. 

Compagnies aériennes : 
36 opèreront au terminal 1 (affectations finalisées mi-janvier 2023).

Postes avions :
15 gros porteurs et 16 moyens porteurs

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Hausse de la taxe sur les billets d’avion : ce qui va changer

La taxe de solidarité sur les billets d’avion (TSBA) revient avec un nouveau barème après plusieurs rebondissements politiques.

Un retour controversé

Après avoir été suspendue lors de la motion de censure, la hausse de la TSBA fait son retour dans le budget 2025, qui sera présenté le 3 février. Initialement, Air France et d’autres compagnies avaient anticipé une hausse importante, mais le Sénat avait ensuite ajusté les montants avant que le gouvernement ne soit renversé.

Les nouveaux tarifs

  • L’augmentation s’appliquera à tous les vols au départ de France.
  • Le nouveau barème a été décidé par la Commission mixte paritaire.
  • Les compagnies aériennes devront verser cette taxe pour tout voyage effectué à partir du 1er janvier 2025, même pour les billets émis avant le vote de la loi.

Voici un tableau comparatif des montants de la taxe :

DestinationClasseAncien montantNouveau montant
Europe et FranceÉconomique2,63 €7,40 €
Europe et FranceAffaires20,27 €30 €
IntermédiaireÉconomique7,51 €15 €
Longue distanceÉconomique7,51 €40 €
Longue distanceAffaires63,07 €120 €

Des questions en suspens

Les professionnels du voyage s’inquiètent des changements de dernière minute et des remboursements du trop-perçu par les compagnies. Par ailleurs, l’Europe pourrait contester l’exonération pour l’Outre-Mer et la Corse.

Avec cette hausse, l’État espère récupérer 800 à 850 millions d’euros, tout en accordant un crédit d’impôt pour l’achat de carburants durables. Reste à voir comment les compagnies et les voyageurs réagiront.

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Christian Estrosi signe son arrêté contre les bateaux de croisière

Le maire de Nice et président de la Métropole, Christian Estrosi, annonce (article Nice-Matin du 24/01/2025) qu’il signera ce vendredi un arrêté interdisant le débarquement et l’embarquement des bateaux de croisière de plus de 900 passagers dans les gares maritimes de la Métropole.

Une interdiction qui fait débat

Lors de ses vœux, Christian Estrosi avait surpris en annonçant vouloir bannir les plus gros navires dès cet été. Son objectif : lutter contre le sur-tourisme et la pollution engendrée par ces « hôtels flottants ».

« Je ne veux pas que des bateaux qui polluent et dont les passagers ne consomment rien, mais laissent leurs déchets, viennent à Nice. On a empêché le béton d’étouffer la ville, ce n’est pas pour laisser le sur-tourisme prendre le relais. »

Si cette décision est saluée par l’opposition écologiste, elle prend de court Villefranche-sur-Mer, principal port concerné. Son maire, Christophe Trojani, affirme n’avoir pas été informé de cette mesure qui pourrait lourdement impacter l’économie locale.

Une application encore floue

La Métropole ne peut pas interdire les bateaux de mouiller dans la rade, compétence relevant de l’État. En revanche, elle contrôle l’accès à la gare maritime de Villefranche, et c’est là qu’elle compte agir.

« Si les croisiéristes ne peuvent plus débarquer, les compagnies seront dissuadées de s’arrêter ici. »

Reste à voir si tous les maires du littoral suivront cette initiative, qui divise déjà élus et acteurs du tourisme.

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Les 7 mesures proposées par le maire de Nice pour réduire les locations saisonnières de « 50% minimum »

D’après le journal Nice-Matin, le maire de Nice, Christian Estrosi, souhaite renforcer les restrictions sur les locations saisonnières. Lors d’une conférence de presse tenue le jeudi 14 novembre, il a dévoilé sept nouvelles mesures visant à réduire de « 50% minimum » le nombre de logements proposés sur des plateformes comme Airbnb.

Déjà connue pour son engagement dans la régulation des locations saisonnières, Nice entend s’appuyer sur la récente loi « anti-Airbnb », adoptée le 7 novembre, pour aller encore plus loin dans cette lutte.

Christian Estrosi a rappelé son objectif de mettre en place une réglementation stricte afin de préserver l’accès des habitants à des logements de longue durée. Ce nouveau plan repose sur une étude d’impact réalisée par la Métropole Nice Côte d’Azur, incluant une cartographie détaillée des quartiers.

« Je ne souhaite pas interdire les meublés touristiques mais éviter qu’ils submergent la ville. Mon but n’est pas de pénaliser les particuliers qui louent une chambre pour compléter leurs revenus, mais de contrer les entreprises qui monopolisent un bien commun essentiel pour les Niçois », a-t-il précisé.

Les 7 mesures envisagées :

  1. Quotas par quartier : Les propriétaires dépassant ces quotas devront compenser en transformant un local de surface équivalente en logement.
  2. Durée des autorisations réduite : Les autorisations temporaires seraient ramenées de six à cinq ans.
  3. Réduction du nombre de jours autorisés : Les résidences principales ne pourraient plus être louées plus de 90 jours par an, contre 120 actuellement.
  4. Maintien des dispositifs dérogatoires : Le modèle mixte, permettant une location touristique estivale et un usage étudiant le reste de l’année, serait conservé.
  5. Documents obligatoires pour les propriétaires : Fourniture d’un diagnostic de performance énergétique (DPE) conforme et d’une attestation sur l’honneur du respect du règlement de copropriété lors de la demande de changement d’usage.
  6. Amendes renforcées : Des sanctions administratives pouvant atteindre 20 000 euros, avec des majorations en cas de récidive.
  7. Zones spécifiques dans le PLU : Création de secteurs limitant les locations saisonnières aux seules résidences principales via le Plan Local d’Urbanisme.

Ces mesures visent à contenir l’impact des locations touristiques sur le marché immobilier local et à préserver l’équilibre entre tourisme et qualité de vie des résidents permanents.

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