Royal Caribbean International a dévoilé le premier aperçu de l’Icon of the Seas très attendue des mers, l’icône des vacances. Arrivé fin 2023 avant ses débuts en janvier 2024, le premier navire Icon Class sera la première combinaison de l’industrie du voyage du meilleur de toutes les vacances.
L’Icon of the Seas, est le premier navire de Royal Caribbean équipé de la technologie des piles à combustible et alimenté au GNL, qui démarrera ses croisières dans les Caraïbes début 2024. Un navire pensé pour les familles, faisant la part belle au divertissement.
De la retraite à la plage à l’évasion de la station balnéaire et à l’aventure du parc à thème, avec Icon, chaque type de famille et d’aventurier peut vivre sa version des vacances en famille ultimes. Les vacanciers peuvent réserver leur aventure emblématique sur le site Web de Royal Caribbean le mardi 25 octobre. Les membres de fidélité Crown & Anchor peuvent rechercher un accès spécial le lundi 24 octobre.
«Avec chaque nouveau navire, nous élevons la barre dans l’industrie du voyage tout en améliorant ce que nos clients connaissent et aiment», a déclaré Jason Liberty, président et chef de la direction de Royal Caribbean Group. « Dès le moment où ils montent à bord, chaque expérience est spécialement conçue pour leur offrir les meilleures vacances partout sur terre et en mer. Avec Icon of the Seas, nous avons porté cela à un nouveau niveau et avons fait des vacances en famille ultimes.
Que les « vacances en famille » signifient s’évader en famille, en couple ou entre amis, la gamme complète d’Icon propose une variété de premiers et de favoris de niveau supérieur pour tout le monde. Il y a des sensations fortes qui font monter l’adrénaline, y compris le plus grand parc aquatique en mer, et des moyens inégalés de se détendre avec plus de vues sur l’océan et de piscines – une pour chaque jour de la semaine – que jamais auparavant, ainsi qu’un mélange de plus de 40 restaurants nouveaux et anciens, des options de bar et de vie nocturne et des divertissements de pointe.
« Icon of the Seas est l’aboutissement de plus de 50 ans d’expériences mémorables et notre prochain engagement audacieux envers ceux qui aiment les vacances », a déclaré Michael Bayley, président et chef de la direction de Royal Caribbean International. « Maintenant plus que jamais, les familles et les amis privilégient les expériences où ils peuvent créer des liens et profiter de leurs propres aventures. C’est cette combinaison unique en son genre qui fait d’Icon l’avenir des vacances en famille, et cet avenir est là.
Royal Caribbean commence à mettre en lumière ce qui nous attend avec le premier aperçu de huit quartiers qui s’animent jour et nuit, dont cinq aventures inédites et trois favoris audacieux et de retour. Chacune est une destination en soi remplie d’un éventail d’expériences, de divertissements en direct et de façons de prendre une bouchée et une boisson, afin que chacun puisse créer des souvenirs à sa guise chaque jour.
Le navire sera composé de huit quartiers animés de jour comme de nuit. Cinq sont nouveaux :
– Thrill Island (l’île aux frissons) : Sur cette île perdue qui porte bien son nom, les vacanciers pourront tester leurs limites, gravir de nouveaux sommets et faire des pointes de vitesse. Elle abrite notamment « Catégorie 6 », le parc aquatique en mer et ses six toboggans (Pressure Drop dont l’inclinaison de 66° en fait le premier toboggan ouvert à chute libre ; Frightening Bolt ; Storm Surge et Hurricane Hunter, où 4 passagers par radeau peuvent embarquer ; Storm Chaser ; Crown’s Edge, un mix entre un skywalk et un parcours à sensations fortes à presque 50m au-dessus de l’océan).
– Chill Island (l’île pour se relaxer) : Sur les 7 piscines du navire, 4 se trouvent dans cette zone qui s’étend sur une hauteur de 3 ponts : la Swim & Tonic, dotée d’un bar ; la Royal Bay qui est la plus grande piscine en mer ; la Cloud 17 réservée aux adultes ; la piscine Cove à débordement.
– Surfside (Côté Surf) : un quartier conçu de bout en bout pour les jeunes familles (enfants âgés de 6 ans et moins), où les adultes pourront nager dans la piscine à débordement Water’s Edge, tout en gardant un œil sur les enfants s’amusant à Splashaway Bay et Baby Bay. A côté se trouvent des restaurants, des endroits pour se détendre, un bar, un carrousel, une salle de jeux d’arcade, Adventure Ocean et Social020 dédié aux adolescents.
– The Hideaway (La Cachette) : Niché à l’écart du navire, ce quartier situé à 40m au-dessus de l’océan offre une vue sur l’océan. Au centre trône la première piscine à débordement suspendue en mer. Elle est entourée d’une terrasse qui s’étend sur plusieurs niveaux ponctués de bains à remous et d’un bar.
– AquaDome (Dôme aquatique) : Perché au sommet de l’Icon, ce lieu où les passagers peuvent profiter d’une vue sur l’océan et d’une chute d’eau impressionnante, une oasis de tranquillité le jour, laisse place en soirée aux restaurants et bars animés. C’est ici que l’on assiste aux spectacles aquatiques dans l’AquaTheater. Ce théâtre en extérieur, emblématique de la compagnie, comprend une piscine qui se transforme, quatre bras robotisés, où les projections surprennent chaque soir, porte l’art et la technologie de pointe vers de nouveaux sommets.
Hausse de la taxe sur les billets d’avion : ce qui va changer
La taxe de solidarité sur les billets d’avion (TSBA) revient avec un nouveau barème après plusieurs rebondissements politiques.
Un retour controversé
Après avoir été suspendue lors de la motion de censure, la hausse de la TSBA fait son retour dans le budget 2025, qui sera présenté le 3 février. Initialement, Air France et d’autres compagnies avaient anticipé une hausse importante, mais le Sénat avait ensuite ajusté les montants avant que le gouvernement ne soit renversé.
Les nouveaux tarifs
L’augmentation s’appliquera à tous les vols au départ de France.
Les compagnies aériennes devront verser cette taxe pour tout voyage effectué à partir du 1er janvier 2025, même pour les billets émis avant le vote de la loi.
Voici un tableau comparatif des montants de la taxe :
Destination
Classe
Ancien montant
Nouveau montant
Europe et France
Économique
2,63 €
7,40 €
Europe et France
Affaires
20,27 €
30 €
Intermédiaire
Économique
7,51 €
15 €
Longue distance
Économique
7,51 €
40 €
Longue distance
Affaires
63,07 €
120 €
Des questions en suspens
Les professionnels du voyage s’inquiètent des changements de dernière minute et des remboursements du trop-perçu par les compagnies. Par ailleurs, l’Europe pourrait contester l’exonération pour l’Outre-Mer et la Corse.
Avec cette hausse, l’État espère récupérer 800 à 850 millions d’euros, tout en accordant un crédit d’impôt pour l’achat de carburants durables. Reste à voir comment les compagnies et les voyageurs réagiront.
Christian Estrosi signe son arrêté contre les bateaux de croisière
Le maire de Nice et président de la Métropole, Christian Estrosi, annonce (article Nice-Matin du 24/01/2025) qu’il signera ce vendredi un arrêté interdisant le débarquement et l’embarquement des bateaux de croisière de plus de 900 passagers dans les gares maritimes de la Métropole.
Une interdiction qui fait débat
Lors de ses vœux, Christian Estrosi avait surpris en annonçant vouloir bannir les plus gros navires dès cet été. Son objectif : lutter contre le sur-tourisme et la pollution engendrée par ces « hôtels flottants ».
« Je ne veux pas que des bateaux qui polluent et dont les passagers ne consomment rien, mais laissent leurs déchets, viennent à Nice. On a empêché le béton d’étouffer la ville, ce n’est pas pour laisser le sur-tourisme prendre le relais. »
Si cette décision est saluée par l’opposition écologiste, elle prend de court Villefranche-sur-Mer, principal port concerné. Son maire, Christophe Trojani, affirme n’avoir pas été informé de cette mesure qui pourrait lourdement impacter l’économie locale.
Une application encore floue
La Métropole ne peut pas interdire les bateaux de mouiller dans la rade, compétence relevant de l’État. En revanche, elle contrôle l’accès à la gare maritime de Villefranche, et c’est là qu’elle compte agir.
« Si les croisiéristes ne peuvent plus débarquer, les compagnies seront dissuadées de s’arrêter ici. »
Reste à voir si tous les maires du littoral suivront cette initiative, qui divise déjà élus et acteurs du tourisme.
Les 7 mesures proposées par le maire de Nice pour réduire les locations saisonnières de « 50% minimum »
D’après le journal Nice-Matin, le maire de Nice, Christian Estrosi, souhaite renforcer les restrictions sur les locations saisonnières. Lors d’une conférence de presse tenue le jeudi 14 novembre, il a dévoilé sept nouvelles mesures visant à réduire de « 50% minimum » le nombre de logements proposés sur des plateformes comme Airbnb.
Déjà connue pour son engagement dans la régulation des locations saisonnières, Nice entend s’appuyer sur la récente loi « anti-Airbnb », adoptée le 7 novembre, pour aller encore plus loin dans cette lutte.
Christian Estrosi a rappelé son objectif de mettre en place une réglementation stricte afin de préserver l’accès des habitants à des logements de longue durée. Ce nouveau plan repose sur une étude d’impact réalisée par la Métropole Nice Côte d’Azur, incluant une cartographie détaillée des quartiers.
« Je ne souhaite pas interdire les meublés touristiques mais éviter qu’ils submergent la ville. Mon but n’est pas de pénaliser les particuliers qui louent une chambre pour compléter leurs revenus, mais de contrer les entreprises qui monopolisent un bien commun essentiel pour les Niçois », a-t-il précisé.
Les 7 mesures envisagées :
Quotas par quartier : Les propriétaires dépassant ces quotas devront compenser en transformant un local de surface équivalente en logement.
Durée des autorisations réduite : Les autorisations temporaires seraient ramenées de six à cinq ans.
Réduction du nombre de jours autorisés : Les résidences principales ne pourraient plus être louées plus de 90 jours par an, contre 120 actuellement.
Maintien des dispositifs dérogatoires : Le modèle mixte, permettant une location touristique estivale et un usage étudiant le reste de l’année, serait conservé.
Documents obligatoires pour les propriétaires : Fourniture d’un diagnostic de performance énergétique (DPE) conforme et d’une attestation sur l’honneur du respect du règlement de copropriété lors de la demande de changement d’usage.
Amendes renforcées : Des sanctions administratives pouvant atteindre 20 000 euros, avec des majorations en cas de récidive.
Zones spécifiques dans le PLU : Création de secteurs limitant les locations saisonnières aux seules résidences principales via le Plan Local d’Urbanisme.
Ces mesures visent à contenir l’impact des locations touristiques sur le marché immobilier local et à préserver l’équilibre entre tourisme et qualité de vie des résidents permanents.