fbpx
Connect with us

Actualité

Visiter un Concorde ou un A380: c’est possible au musée Aeroscopia de Toulouse

Venez vivre une aventure exceptionnelle au musée Aeroscopia, où vous pourrez réaliser votre rêve de pénétrer dans le cockpit du légendaire Concorde, du Super Guppy ou même d’un véritable A380 !

Dès votre arrivée dans ce musée de 35 000 m², vous serez immédiatement embarqué dans une expérience unique. Il abrite une collection d’avions exceptionnelle et se trouve à proximité des usines Airbus. Vous y découvrirez des îlots ludiques et interactifs, une exposition regroupant des avions de légende de toutes les époques tels que le Concorde, la Caravelle, le Super Guppy, l’A300B, ainsi qu’une fresque de 58 mètres de long retraçant l’histoire de l’aéronautique.

Que vous soyez petit ou grand, néophyte ou passionné, vous trouverez certainement une visite qui correspond à vos attentes parmi les différents thèmes proposés : découverte, famille, aviation militaire, le Concorde, etc. Le musée vous offre une occasion unique de monter à bord du Concorde, de vous sentir minuscule à côté du Super Guppy et de découvrir tous les secrets d’un avion.

Saviez-vous que vous pouvez également visiter le tarmac nord ? Cette vaste aire d’exposition extérieure de 20 000 m² accueille cinq appareils qui viennent compléter la collection du musée : le premier prototype de l’Airbus A320, un Airbus A340-600, un ATR 42, un ATR 72, ainsi que l’Airbus A380 MSN002. Cette visite vous permettra de mieux comprendre l’histoire de l’aéronautique toulousaine à travers ces avions emblématiques d’Airbus, tels que l’A320, le deuxième avion de ligne le plus vendu au monde, et le quadriréacteur A340, dont l’ancêtre n’est autre que l’A300B.

L’Airbus A380, véritable géant des airs du constructeur européen, est entièrement aménagé et visitable. Sa scénographie innovante vous invite à découvrir l’univers de la construction aéronautique, des chaînes de production à l’aménagement de la cabine, tout en mettant en lumière les enjeux actuels tels que la protection de l’environnement et l’innovation.

Informations pratiques :

  • Vous pouvez combiner votre visite au musée avec Let’s Visit Airbus et/ou Les Ailes Anciennes.
  • Des visites visioguidées sont disponibles.
  • Un parking gratuit est à votre disposition, et une consigne à bagages est disponible.
  • Le musée est accessible aux personnes en situation de handicap.
  • La boutique est ouverte pendant les heures d’ouverture.
  • Pour le déjeuner, le restaurant « La Ferme de Pinot » vous accueille sur place.

Ne manquez pas l’opportunité de découvrir le musée Aeroscopia à Toulouse, un véritable paradis pour les amateurs d’aviation et un lieu passionnant pour les curieux de tous âges.

Et pour le Concorde :

« Embarquez » dans le Concorde du dernier vol français tous les samedis et dimanches à 11 h – ​supplément visite guidée de 3.50 € par personne. Tarmac Sud – Concorde Fox-Charlie.
+ d’infos

Une visite ponctuée « d’escales » autour des deux concordes du musée pour découvrir ou redécouvrir la genèse de la légende « Concorde » mais aussi les détails techniques et plus croustillants du vol à bord cet avion mythique.

Après avoir découvert le Concorde numéro 1 de série ayant servi à la fois aux essais en vol et d’avion présidentiel. « Embarquez » à bord du Concorde d’Air France qui a effectué le dernier vol français, installez-vous et revivez les différentes étapes du vol : une visite hors du commun et pleine de surprises !

Actualité

Les 7 mesures proposées par le maire de Nice pour réduire les locations saisonnières de « 50% minimum »

D’après le journal Nice-Matin, le maire de Nice, Christian Estrosi, souhaite renforcer les restrictions sur les locations saisonnières. Lors d’une conférence de presse tenue le jeudi 14 novembre, il a dévoilé sept nouvelles mesures visant à réduire de « 50% minimum » le nombre de logements proposés sur des plateformes comme Airbnb.

Déjà connue pour son engagement dans la régulation des locations saisonnières, Nice entend s’appuyer sur la récente loi « anti-Airbnb », adoptée le 7 novembre, pour aller encore plus loin dans cette lutte.

Christian Estrosi a rappelé son objectif de mettre en place une réglementation stricte afin de préserver l’accès des habitants à des logements de longue durée. Ce nouveau plan repose sur une étude d’impact réalisée par la Métropole Nice Côte d’Azur, incluant une cartographie détaillée des quartiers.

« Je ne souhaite pas interdire les meublés touristiques mais éviter qu’ils submergent la ville. Mon but n’est pas de pénaliser les particuliers qui louent une chambre pour compléter leurs revenus, mais de contrer les entreprises qui monopolisent un bien commun essentiel pour les Niçois », a-t-il précisé.

Les 7 mesures envisagées :

  1. Quotas par quartier : Les propriétaires dépassant ces quotas devront compenser en transformant un local de surface équivalente en logement.
  2. Durée des autorisations réduite : Les autorisations temporaires seraient ramenées de six à cinq ans.
  3. Réduction du nombre de jours autorisés : Les résidences principales ne pourraient plus être louées plus de 90 jours par an, contre 120 actuellement.
  4. Maintien des dispositifs dérogatoires : Le modèle mixte, permettant une location touristique estivale et un usage étudiant le reste de l’année, serait conservé.
  5. Documents obligatoires pour les propriétaires : Fourniture d’un diagnostic de performance énergétique (DPE) conforme et d’une attestation sur l’honneur du respect du règlement de copropriété lors de la demande de changement d’usage.
  6. Amendes renforcées : Des sanctions administratives pouvant atteindre 20 000 euros, avec des majorations en cas de récidive.
  7. Zones spécifiques dans le PLU : Création de secteurs limitant les locations saisonnières aux seules résidences principales via le Plan Local d’Urbanisme.

Ces mesures visent à contenir l’impact des locations touristiques sur le marché immobilier local et à préserver l’équilibre entre tourisme et qualité de vie des résidents permanents.

Continue Reading

Actualité

Le voilier Croisière Orient Express Corinthian : l’élégance maritime redéfinie

Cent quarante ans après ses premiers trains de luxe, la légende Orient Express s’étend avec le lancement d’Orient Express Corinthian, le plus grand voilier au monde, prêt à réinventer l’art du voyage en mer. Fruit d’une collaboration inédite entre Accor, les Chantiers de l’Atlantique et LVMH, ce navire allie un design innovant et une propulsion hybride avancée, en réponse aux défis écologiques.

Prévu pour juin 2026, ce bijou de technologie et de style vogue entre Méditerranée, Adriatique et Caraïbes. Construit avec la technologie « SolidSail », le voilier combine l’énergie vélique et le gaz naturel liquéfié (GNL) pour réduire son empreinte environnementale. Doté de trois mâts inclinables et d’une surface de voilure de 4 500 m², il peut atteindre 17 nœuds, propulsé uniquement par le vent.

Avec des suites allant de 45 à 230 m², Orient Express Corinthian assure intimité et confort de haut niveau. Le design, signé par Maxime d’Angeac, intègre bois, cuir et marbre, rappelant l’âge d’or de l’Orient Express et le raffinement artisanal français.

Les passagers auront accès à cinq restaurants, huit bars, un cabaret Art déco, une marina avec activités nautiques, et un couloir de nage de 16,6 m sur le pont supérieur. Ce navire incarne un retour au voyage lent, redéfinissant le luxe sur mer avec des escales choisies pour leur beauté et leur authenticité.

Continue Reading

Actualité

Dès mars 2025, un « visa » obligatoire pour se rendre au Royaume-Uni

À partir de mars 2025, les voyageurs français, italiens et monégasques devront obtenir un ETA (Electronic Travel Authorization) pour se rendre au Royaume-Uni. Cette mesure entrera en vigueur le 2 avril 2025.

Qui sera concerné ?

Initialement, l’ETA était destiné aux ressortissants du Qatar, du Bahreïn, du Koweït, d’Arabie Saoudite et de Jordanie. Cependant, cette exigence sera étendue à d’autres nationalités à partir de l’année prochaine. Plus précisément, le système ETA sera introduit pour tous les visiteurs du Royaume-Uni qui n’ont actuellement pas besoin de visa pour des séjours de courte durée, y compris les ressortissants européens.

Comment ça marche ?

L’ETA est un document similaire à l’ESTA des États-Unis. Pour obtenir l’ETA britannique, il suffit de télécharger l’application dédiée ou de se rendre sur le site Internet. Le coût de l’ETA est de 10 livres sterling, soit environ 12 euros, et il sera valable deux ans à compter de sa délivrance. En cas de refus de l’ETA, il faudra alors faire une demande de visa.

Que permet l’ETA ?

Avec l’ETA, le gouvernement britannique autorise une durée de séjour maximale de 6 mois pour le tourisme, les visites familiales et amicales, les affaires ou les études de courte durée. De plus, l’ETA permet une durée de séjour de 3 mois pour les travailleurs créatifs avec un visa de travail, pour des engagements rémunérés autorisés, ou pour transiter par le Royaume-Uni, même sans passer par le contrôle aux frontières britanniques.

Pourquoi une telle mise en place ?

Selon le gouvernement britannique, cette mesure permettra d’améliorer les « connaissances sur les personnes qui cherchent à venir au Royaume-Uni et d’empêcher les personnes qui représentent une menace ».

Continue Reading
Advertisement

Les + lus