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Croisière : MSC communique sur ses protocoles drastiques pour lutter contre le Covid-19

Les éléments clés du protocole axé sur la santé et la sécurité

1. Contrôle de santé des passagers avant l’embarquement qui inclut trois étapes :

  • un contrôle de la température,
  • un questionnaire de santé obligatoire
  • un test de dépistage COVID-19

En fonction des résultats du test et selon les antécédents médicaux ou de voyage du passager, un test de santé supplémentaire pourra être effectué. Tout passager dont le test est positif ou qui affiche des symptômes ou une température supérieure à la normale se verra refuser l’embarquement. Conformément aux directives du Centre européen de prévention et de contrôle des maladies, les passagers en provenance de pays classés à haut risque devront effectuer un test COVID-19 RT-PCR, dans les 72 heures précédant l’embarquement. Tous les membres d’équipage seront testés pour le COVID-19 avant l’embarquement ainsi que régulièrement pendant toute la durée de leur contrat ;

2. Des mesures d’assainissement et de nettoyage soutenues par l’introduction de nouvelles méthodes de nettoyage, l’utilisation de produits désinfectants approuvés et utilisés en milieu hospitalier ;

3. La distanciation physique sera possible grâce à la réduction de la capacité globale des passagers à bord à 70%, permettant plus d’espace pour chacun (env. 10 m² par personne). La capacité des espaces publics sera réduite, les activités seront modifiées pour accueillir des groupes plus petits et les hôtes devront réserver à l’avance les services et les activités afin de mieux contrôler le flux de passagers. Lorsque la distanciation sociale n’est pas possible, dans les ascenseurs par exemple, les passagers devront porter un masque. Ces masques seront fournis quotidiennement dans la cabine et seront disponibles un peu partout à bord du navire.

4. Les installations et les services médicaux seront améliorés avec un personnel hautement qualifié et formé, l’équipement nécessaire pour tester, évaluer et traiter les patients suspects de COVID-19 et la mise à disposition d’un traitement gratuit au centre médical à bord pour tout passager présentant des symptômes. Certaines cabines seront dédiées pour permettre l’isolement de tout cas suspect et des personnes ayant eu des contacts étroits avec ce dernier.

5. Une surveillance continue de la santé sera effectuée tout au long de la croisière. La température des passagers et de l’équipage sera vérifiée quotidiennement à leur retour d’excursion ou dans certains lieux indiqués à bord. Lors de cette première reprise des opérations, et afin de renforcer la protection et d’éviter tout risque pour les passagers, les hôtes ne pourront découvrir la destination que dans le cadre d’une excursion organisée par MSC Croisières. Cette mesure a été mise en place afin que la Compagnie puisse protéger leur santé avec des excursions qui intégreront les mêmes standards élevés de santé et de sécurité qu’à bord. La compagnie veillera à ce que les moyens de transport soient correctement désinfectés et qu’il y ait suffisamment d’espace pour respecter la distanciation physique. Les guides touristiques et les chauffeurs passeront également un examen de santé et porteront un équipement de protection individuel (EPI) approprié.

6. Un plan d’intervention d’urgence sera activé si un cas suspect est identifié, en étroite coopération avec les autorités sanitaires nationales. Le cas suspect et les personnes ayant été en contact étroit avec ce dernier suivront des mesures d’isolement et pourront être débarqués conformément aux réglementations locales et nationales.

Plus d info sur le site MSC

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Les 7 mesures proposées par le maire de Nice pour réduire les locations saisonnières de « 50% minimum »

D’après le journal Nice-Matin, le maire de Nice, Christian Estrosi, souhaite renforcer les restrictions sur les locations saisonnières. Lors d’une conférence de presse tenue le jeudi 14 novembre, il a dévoilé sept nouvelles mesures visant à réduire de « 50% minimum » le nombre de logements proposés sur des plateformes comme Airbnb.

Déjà connue pour son engagement dans la régulation des locations saisonnières, Nice entend s’appuyer sur la récente loi « anti-Airbnb », adoptée le 7 novembre, pour aller encore plus loin dans cette lutte.

Christian Estrosi a rappelé son objectif de mettre en place une réglementation stricte afin de préserver l’accès des habitants à des logements de longue durée. Ce nouveau plan repose sur une étude d’impact réalisée par la Métropole Nice Côte d’Azur, incluant une cartographie détaillée des quartiers.

« Je ne souhaite pas interdire les meublés touristiques mais éviter qu’ils submergent la ville. Mon but n’est pas de pénaliser les particuliers qui louent une chambre pour compléter leurs revenus, mais de contrer les entreprises qui monopolisent un bien commun essentiel pour les Niçois », a-t-il précisé.

Les 7 mesures envisagées :

  1. Quotas par quartier : Les propriétaires dépassant ces quotas devront compenser en transformant un local de surface équivalente en logement.
  2. Durée des autorisations réduite : Les autorisations temporaires seraient ramenées de six à cinq ans.
  3. Réduction du nombre de jours autorisés : Les résidences principales ne pourraient plus être louées plus de 90 jours par an, contre 120 actuellement.
  4. Maintien des dispositifs dérogatoires : Le modèle mixte, permettant une location touristique estivale et un usage étudiant le reste de l’année, serait conservé.
  5. Documents obligatoires pour les propriétaires : Fourniture d’un diagnostic de performance énergétique (DPE) conforme et d’une attestation sur l’honneur du respect du règlement de copropriété lors de la demande de changement d’usage.
  6. Amendes renforcées : Des sanctions administratives pouvant atteindre 20 000 euros, avec des majorations en cas de récidive.
  7. Zones spécifiques dans le PLU : Création de secteurs limitant les locations saisonnières aux seules résidences principales via le Plan Local d’Urbanisme.

Ces mesures visent à contenir l’impact des locations touristiques sur le marché immobilier local et à préserver l’équilibre entre tourisme et qualité de vie des résidents permanents.

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Le voilier Croisière Orient Express Corinthian : l’élégance maritime redéfinie

Cent quarante ans après ses premiers trains de luxe, la légende Orient Express s’étend avec le lancement d’Orient Express Corinthian, le plus grand voilier au monde, prêt à réinventer l’art du voyage en mer. Fruit d’une collaboration inédite entre Accor, les Chantiers de l’Atlantique et LVMH, ce navire allie un design innovant et une propulsion hybride avancée, en réponse aux défis écologiques.

Prévu pour juin 2026, ce bijou de technologie et de style vogue entre Méditerranée, Adriatique et Caraïbes. Construit avec la technologie « SolidSail », le voilier combine l’énergie vélique et le gaz naturel liquéfié (GNL) pour réduire son empreinte environnementale. Doté de trois mâts inclinables et d’une surface de voilure de 4 500 m², il peut atteindre 17 nœuds, propulsé uniquement par le vent.

Avec des suites allant de 45 à 230 m², Orient Express Corinthian assure intimité et confort de haut niveau. Le design, signé par Maxime d’Angeac, intègre bois, cuir et marbre, rappelant l’âge d’or de l’Orient Express et le raffinement artisanal français.

Les passagers auront accès à cinq restaurants, huit bars, un cabaret Art déco, une marina avec activités nautiques, et un couloir de nage de 16,6 m sur le pont supérieur. Ce navire incarne un retour au voyage lent, redéfinissant le luxe sur mer avec des escales choisies pour leur beauté et leur authenticité.

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Dès mars 2025, un « visa » obligatoire pour se rendre au Royaume-Uni

À partir de mars 2025, les voyageurs français, italiens et monégasques devront obtenir un ETA (Electronic Travel Authorization) pour se rendre au Royaume-Uni. Cette mesure entrera en vigueur le 2 avril 2025.

Qui sera concerné ?

Initialement, l’ETA était destiné aux ressortissants du Qatar, du Bahreïn, du Koweït, d’Arabie Saoudite et de Jordanie. Cependant, cette exigence sera étendue à d’autres nationalités à partir de l’année prochaine. Plus précisément, le système ETA sera introduit pour tous les visiteurs du Royaume-Uni qui n’ont actuellement pas besoin de visa pour des séjours de courte durée, y compris les ressortissants européens.

Comment ça marche ?

L’ETA est un document similaire à l’ESTA des États-Unis. Pour obtenir l’ETA britannique, il suffit de télécharger l’application dédiée ou de se rendre sur le site Internet. Le coût de l’ETA est de 10 livres sterling, soit environ 12 euros, et il sera valable deux ans à compter de sa délivrance. En cas de refus de l’ETA, il faudra alors faire une demande de visa.

Que permet l’ETA ?

Avec l’ETA, le gouvernement britannique autorise une durée de séjour maximale de 6 mois pour le tourisme, les visites familiales et amicales, les affaires ou les études de courte durée. De plus, l’ETA permet une durée de séjour de 3 mois pour les travailleurs créatifs avec un visa de travail, pour des engagements rémunérés autorisés, ou pour transiter par le Royaume-Uni, même sans passer par le contrôle aux frontières britanniques.

Pourquoi une telle mise en place ?

Selon le gouvernement britannique, cette mesure permettra d’améliorer les « connaissances sur les personnes qui cherchent à venir au Royaume-Uni et d’empêcher les personnes qui représentent une menace ».

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